Trois histoires mêlant Winnie l’ourson et ses amis.
1. Victime de sa gloutonnerie, Winnie se retrouve bloqué dans le trou du terrier du lapin.
2. Les habitants de la Forêt des Rêves Bleus affrontent une terrible tempête.
3. Ils doivent se faire à l’obsession de Tigrou de bondir.
Dernière œuvre façonnée par Walt Disney, ses filles bissaient les histoires du petit ourson et il a eu l’idée de l’adapter.
Le personnage de la Taupe, ajout des studios, crée des dissensions pourtant, elle a son utilité et j’ai particulièrement apprécié ses tics de langage.
Jean-Christophe joue un rôle de modérateur qui raisonne ses peluches et ne provoque jamais une intrigue.
Coco Lapin a fait sa renommée essentiellement avec la scène où l’ours est coincé chez lui. Tantôt atrabilaire, tantôt rusé, son caractère est foncièrement humain.
Maman Gourou et Petit Gourou personnifient l’amour maternel, en résulte un temps de présence à l’écran amoindri et des scènes conventionnelles.
Maître Hibou peut sembler le plus sagace de la petite bande mais ses laïus bien qu’emphatiques, s’avèrent improductifs et inintéressants.
Bourriquet, le baudet spleenétique, à l’humeur acariâtre fait mousser notre empathie.
Porcinet, sous ses allures malingres et sa grande mansuétude, il devient rapidement la coqueluche des mistons.
Tigrou, quant à lui, il est l’archétype américain : baroque, hédoniste et… bondissant.
Les aventures de Winnie l’ourson sera décliné en moult suites et une myriade de séries.