Autant par ses couleurs, sa chaleur, le jeu d'acteur, j'ai particulièrement apprecié l'ensemble feel good qui a dégagé de mon esprit en regardant ce film. Au début, je me suis prise facilement au jeu, étant une grande adepte du sentiment d'amour, j'étais de toute manière la bonne cliente pour sourire agard, à l'ensemble de ces belles coïncidences sentimentales. Malgré tout, au bout d'un moment, j'ai finis par ne plus tellement apprécier le monde parfait et (très important) sans risque dans lequel j'avais été plongé. Lorsque les sentiments ne me paraissaient plus réalistes, certains personnages ont alors perdu de leur saveur. Je ne ressentais plus l'intimité que j'avais créer avec eux car je m'y sentais exclue.
Mais finalement, je sais que j'aurais tout pardonner sans la cerise sur le gateau final de la moulaga, car on pardonne tout à un film où on s'est senti aimé.
La cerise sur le gateau final : Sang-Hyeon qui TUE un gars (oui on en est là) MAIS ne récupère pas sa thune (insérer de l'incompréhension ici), alors que j'avais cru comprendre qu'il était fortement intéresser par cela, notamment avec à sa charge sa propre fille. Cela paraît fortemment improbable comme situation.