Le baton du berger.
Au XVIIe siècle, dans un village suédois, une femme accusée de sorcellerie est condamnée au bucher sous les yeux du prêtre qui se refuse à l'absoudre. Avant de partir en fumée, celle-ci promet de...
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le 10 août 2021
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Au XVIIe siècle, dans un village suédois, une femme accusée de sorcellerie est condamnée au bucher sous les yeux du prêtre qui se refuse à l'absoudre. Avant de partir en fumée, celle-ci promet de maudire sa descendance, ce qui se vérifiera près de deux siècles où un pasteur, descendant du prêtre, arrive au village du pêché, et est frappé d'une érection permanente. Ce qui n'est pas sans déplaire aux femmes qui tournent autour...
Il ne vaut mieux ne pas se fier à l'affiche française qui orne une interdiction aux moins de 18 ans. Si on voit beaucoup de seins, quelques fesses (y compris celle du pasteur), et très peu de sexe féminin, c'est proche dans l'esprit d'une comédie paillarde comme il y en avait tant dans le cinéma français des années 1970-80. Oui, c'est érotique, jamais porno, et c'est une manière de fêter joyeusement le cul, avec ces très belles femmes toutes pulpeuses et qui tombent très vite les habits, car voir un tel sexe en érection (qu'on ne voit jamais que caché sous des draps) leur donne envie. Car il faut dire que les seuls hommes présents dans ce village sont tous âgés et qu'elles sont en manque.
Ce qui est étonnant, c'est que la technique n'est pas en défaut, avec d'ailleurs un certain Torgny Wickman, responsable du diptyque Language of love, et c'est d'ailleurs un village d'époque qui a été conservé tel quel, et qui sera rasé pour faire place après à une centrale nucléaire.
L'autre grosse surprise est de découvrir une actrice française, une certaine Magali Noël dans le rôle de la comtesse, qui aimerait bien céder elle aussi et qui tombera rapidement le haut dans une scène de rêve. D'ailleurs, ce pasteur joué par Jarl Borssen n'est pas très beau, avec une coupe au bol, personne ne veut y toucher d'ailleurs, à part son zizi endurant qui épuise tout le monde.
Même si c'est vraiment sympathique, l'histoire tourne assez vite en rond, avec un barde qui vient chanter de temps en temps comme une sorte de voix off, et le mystère est de savoir si le monsieur va arrêter de bander. L'inverse du Viagra en quelque sorte...
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le 10 août 2021
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