Grosse déception dès les premières secondes : au lieu de commencer par le générique de Bernard Minet, on a droit à l'exposition la moins convaincue du monde narrée par la voix off de Boromir.
Après, plus le film avançait et plus j'avais envie que le cosmos brûle en moi. Pas pour devenir un chevalier, non, mais juste parce que mourir brûlé vif de l'intérieur aurait été un sort préférable et moins douloureux que continuer à subir ce film.
Mais pourquoi suis-je aller me fourrer dans ce merdier pour commencer ? Quand j'ai vu que le fils de Sonny Chiba jouait Seiya, et que Mark Dacascos était aussi à l'affiche, je me suis dit ok ce sera ptêt con mais au moins y'aura de la bonne tape.
Que nenni. Les combats sont encore plus chiants et mal branlés que les dialogues, ce qui est certes un exploit en quelque sorte, mais pas celui que je cherchais.
Dans certaines mythologies, il est défendu de prononcer les noms des démons, de crainte qu'une simple mention les fasse se manifester. C'est pourquoi je ne parlerai pas ici de la DA, des FX, ou du chara design.