Eté 44, Patton fonce sur Paris. Une unité spéciale va le ravitailler au gré de sa progression, en convoyant du carburant chaque jour du port de Cherbourg jusqu'au front. Film de guerre à la marge qui montre en quelques sortes les "coulisses" des combats. Des séries B comme cela, on en redemande. Avec du rythme, des rivalités, de l'humour et même un brin de romance. Jeff Chandler est impérial et Sidney Poitier prend superbement ses marques.

Cinephile-doux
7
Écrit par

Créée

le 9 août 2019

Critique lue 284 fois

3 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 284 fois

3

D'autres avis sur Les Conducteurs du diable

Les Conducteurs du diable
Fêtons_le_cinéma
5

Frères d’armes

The Red Ball Express mêle l’approche documentaire, notamment avec ses sommaires dont les enjeux sont explicités par un narrateur humaniste, à un éloge de la camaraderie pour lequel la fiction compte...

le 30 mars 2021

4 j'aime

Les Conducteurs du diable
AMCHI
5

L'essence, le nerf de la guerre

Budd Boetticher est un réalisateur américain surtout connu pour ses westerns avec Randolph Scott. C'est un réalisateur de série B parfois efficace, parfois moyen et c'est le cas du présent film. Les...

le 21 oct. 2023

3 j'aime

9

Les Conducteurs du diable
Cinephile-doux
7

Les coulisses des combats

Eté 44, Patton fonce sur Paris. Une unité spéciale va le ravitailler au gré de sa progression, en convoyant du carburant chaque jour du port de Cherbourg jusqu'au front. Film de guerre à la marge qui...

le 9 août 2019

3 j'aime

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13