J'ai passé une heure à essayer d'écrire une critique de ce film. Je n'arrête pas de tout effacer pour recommencer, je n'arrive pas à exprimer à quel point il m'a surpris et touché.
Alors je vais me contenter de vous conseiller vivement de prendre le temps de le regarder. Il vaut sacrément le détour, ne serait-ce que pour Mathieu Amalric, ce très grand monsieur. Mais s'il n'y avait que ça...
En vrac : un film de science fiction qui se passe (en partie) à Biarritz (WHAT?!); une réalisation de fou qui louvoie à travers les genres du cinéma sans jamais se perdre; Amalric à poil (mais ça vous l'avez déjà vu sur l'affiche); Manuel de Falla à la bande son (plus Ravel, plus la discographie complète de Léo Ferré); de la science fiction avec un minimum d'effets spéciaux mais pourtant tout à fait crédible; un haut rouge et une écharpe jaune; Sergi Lopez; des vautours; et Amalric à poil, bordel !
Bon j'arrête ici, je pense que vous avez compris que j'ai beaucoup (beaucoup) aimé Les Derniers Jours Du Monde.
Foncez !