Le capitaine Grant disparaît en mer, mais il aurait envoyé un message dans une bouteille qui est réceptionnée par son engeance.
Les adaptations des romans de Jules Verne ne sont pas si singulières, car elles sont basées sur un foisonnement de péripéties rocambolesques comme l’ont déjà fait les studios Disney. Ils ajoutent leur patte, c’est-à-dire une myriade de chansons. La gouaille de Maurice Chevalier est remarquable et il amène une fraîcheur et une francophonie bienvenues. Néanmoins, le jaguar n’est pas crédible parce qu’il déguerpit au moindre bruit, quel pleutre !