Les Êtres chers
5.8
Les Êtres chers

Film de Anne Émond (2015)

Après la mort de son père, David fonde une famille mais sombre peu à peu dans la mélancolie. Cette chronique très pudique parle de la mort, celle que l'on se donne, de la transmission et du deuil. Avec une énorme délicatesse et une sobre exploration des sentiments portées par une bienveillance continuelle. Le film commence à la fin des années 70 et se termine une trentaine d'années plus tard. Malgré ses thématiques sombres, le métrage d'Annie Emond, son deuxième, a quelque chose de lumineux dans les grands espaces du Québec. Son interprète masculin principal, Maxim Gaudette est extraordinaire de justesse.

Cinephile-doux
7
Écrit par

Créée

le 14 juin 2018

Critique lue 274 fois

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 274 fois

D'autres avis sur Les Êtres chers

Les Êtres chers
Cinephile-doux
7

La mort, la transmission et le deuil

Après la mort de son père, David fonde une famille mais sombre peu à peu dans la mélancolie. Cette chronique très pudique parle de la mort, celle que l'on se donne, de la transmission et du deuil...

le 14 juin 2018

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13