1952, l'année où Charlie Chaplin dit "Au Revoir" aux Etats-Unis mais pas seulement...
En regardant "Les Feux de la rampe", on peut se dire que c'est un film classique où un homme n'arrive pas à toucher le cœur d'une femme éprise d'un autre...
Mais non, ici, on voit les "Au Revoir" de Chaplin au public, certes il a fait d'autres films après mais pas du même acabit
Des "Au Revoir" que Chaplin ET son personnage effectuent...
Les deux ont eu une carrière formidable où ils ont vécu et grandit grâce aux acclamations, à l'appel des lumières et dont le déclin vient inévitablement
Fatigués, ils trouvent, ensemble, la force, grâce aux public, de vivre une dernière fois les frissons de la scène
Alors oui, la mise en scène,..etc a peut-être un peu vieilli pour certains mais ça lui donne un cachet sans égal mais le principal est avant-tout, ici, cette histoire magnfique...
Une histoire de passassion de flambeau...
Calvero à Theresa...
Chaplin aux générations futures
Tout ceci, en tête, rends ce film encore plus émouvant...
Chaplin sait faire rire... Mais aussi bien pleurer