« Children of men » traduit en français « les fils de l’homme » est un film d’environ deux heures réalisé par Alfonso Cuaròn. Ce film de science-fiction qui met les spectateurs au cœur de la dystopie est apparu pour la première fois en Suisse le 8 novembre 2006. De plus, il a reçu plusieurs oscars par exemple: celui de la meilleure photographie, celui du meilleur montage et du meilleur scénario adapté. Les acteurs principaux sont : Clive Owen, Julianne Moore, Michael Caine, Claire-Hope Ashitey et Chiwetel Eijiofor.
L’histoire se passe en 2027 au Royaume-Uni plus précisément à Londres. Cela se passe dans une société futuriste où les femmes sont toutes stériles et l’annonce du décès de la personne la plus jeune bouleverse la population. Un jeune homme appelé Théo se porte volontaire pour une mission assez délicate: celle d’accompagner une femme enceinte hors du pays.
D‘abord, j’ai bien aimé que les spectateurs soient au cœur d’une dystopie, par conséquent cela permet de voir le côté dramatique où personne n’est capable d’atteindre le bonheur. En outre, je trouve que Clive Owen s’est très bien investi car il est crédible dans son rôle d’homme qui voit chambouler sa vie du jour au lendemain par l’apparition de son ex-femme. Cette femme est jouée par Julianne Moore, une actrice charismatique évoquant une force inexplicable même face au pire. Ensuite, je trouve que Alfonso a bien fait de diviser le film en deux parties puisque que ça permet d’ordonner les choses dans la logique. La première partie est centrée sur les personnages, laissant accès à une deuxième partie focalisée sur l’action. Pourtant, sachant que vingt ans plus tard nous sommes toujours ancrés dans notre quotidien, je pense que l’auteur aurait dû décrire un monde plus futuriste pour mieux comparer.
En conclusion, nous pouvons assimiler la femme noire à la vierge Marie parce que c’est la seule personne qui pouvait sauver l’humanité. Je pense que c’est un bon film à voir car l’incertitude est omniprésente et nous ne savons pas si cette dame va réussir à atteindre son but.