La perfection ou le dicible ineffable.
... (C'est comme si Bela Tarr filmait l'impossible, ce qui n'existe pas. Comme si tout ce que les personnages du film disaient jusqu'à 1heure30 du film n'était que le préliminaire intellectuel, émotionnel et philosophique du choc existentiel qui se passe lors de l'apparition du cadavérique vieillard. Une sorte de final de 2001 l'Odyssée de l'espace accessible, limpide et extraordinaire. Rien n'existe au sens d'une perception universelle. Le paradoxe de toute chose, passé sous silence lorsque l'humanité à la réflexion tumultueuse, creuse, se retrouve face à sa fin et à celle de toute chose, l'image décatie de la mort qui vient vous frapper comme une mort avant l'heure. La réflexion - ce qu'elle entraine et influence de perception - soudainement tue. Le chaos silencieux, l'ambassadeur du vide. L'Homme, en somme. Ce vieillard immobile, miroir de l'humanité.)
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