De la fenêtre de la prison, ne sont visible que les hirondelles qui, entre les tirs des Talibans, tourbillonnent au dessus de la chaleur de Kaboul. Une belle image pour nommer le récit des injustices et des incohérences de l'intégrisme religieux.
La violence engendre la violence, le film met en avant les souffrances qu'endurent les femmes de la capitale Afghane, des souffrances qui se répercutent sur les hommes, contrairement à ce qui peut être imaginé au premiers abords. Tout le monde souffre d'un système inégal.
Une scène, presque innocente au milieu des autres, m'a particulièrement attristé : des enfants jettes des pierres sur un animal en riant. C'est pour moi la scène qui résonne le plus avec la fin du film.
Zunaira rejoint son ancien professeur de fac, pour enseigner clandestinement à la prochaine génération ce qu'est la liberté.