Tout d’abord, j’ai beaucoup aimé le court-métrage qui précède le film, très touchant dans son genre. Puis, le film arrive et démarre là où le premier opus s’est arrêté, avec l’arrivée du Démolisseur. On découvre ensuite ce qui s’est passé, et on constate que, malgré le sauvetage de la ville, ils sont toujours bannis, hors la loi. De plus, pour ajouter à leur détresse, le programme gouvernemental se voit privé de son financement, ce qui laisse à la famille Parr quinze jours pour se retourner. Heureusement, un étrange bienfaiteur sonne à leur porte. Il veut réhabiliter les superhéros alors que dans le même temps, une nouvelle menace se fait jour…
Helen et Bob vont connaître deux trajectoires différentes, l’une dans l’action, alors qu’elle voulait rentrer dans le rang, l’autre dans les tâches quotidiennes et familiales, fruste qu’il est de ne pouvoir agir autrement. Un film qui est irrésistible quand Jack-Jack apparaît à l’écran, source intarissable de gags qui font mouche quasiment à chaque fois. Plus d’action et plus d’humour que dans le premier film. Le très bon point, c’est qu’il ne faut pas attendre la réunion de la famille pour que le film décolle vraiment et prenne une autre dimension. Un film qui, en plus d’être plutôt joli visuellement, fait passer un vrai bon moment de cinéma, dans une salle climatisée, alors qu’il règne une chaleur accablante dehors.