. Les mots ne suffiront pas à exprimer ô combien j’attendais « Les indestructibles 2 ». C’est bien simple, je n’irais pas par quatre chemins ni n’exagérerais en affirmant que « Les Indestructibles 2 » était tout simplement le film que j’attendais le plus de TOUS LES TEMPS ! Qualifier mon attente envers ce film d’ « impatience » relèverait du doux euphémisme, il n’existe pas de mot assez fort pour expliquer/qualifier mon attente démesurée !! 7 ans, c’est l’âge que j’avais lorsque « Les Indestructibles » premier du nom est sorti en novembre 2004 et que mon père nous avait emmené le voir moi et ma grande sœur ! A cet âge où je n’avais absolument aucune idée de l’étendue infinie de ce cosmos qu’est le 7ème Art, l’âge ou mes petits yeux de bambin rêveur découvraient encore le pouvoir fascinant du grand écran dans les salles obscures, « Les Indestructibles », 6ème film des studios Pixar mettant en scène les aventures d’une famille de Super Héros m’avait littéralement scotché, hypnotisé (^^) comme jamais à mon fauteuil rouge !! « Les Indestructibles » fait parti de ces films qui resteront gravés dans le marbre de mon esprit, un souvenir et un bonheur nostalgique indéboulonnable de mon âme d’enfant ! Comptant parmi mes premières séances de cinéma avec d’autres comme « Monstres & Cie » (2001), « Lilo & Stich » (2002), « Némo » (2003) et « Shrek 2 » (2004), « Les Indestructibles » avec du recul est clairement ma première claque cinématographique , autant esthétique qu’émotionnelle, aujourd’hui encore il occupe une place de choix dans mon cœur, fragment incontestablement fondateur de ma passion pour le Cinéma d’Animation avec les deux premiers « Toy Story » et même quelque part….ma passion pour le cinéma tout court ^^. Aujourd’hui encore, même si Pixar a multiplié les claques visuelles et donner naissance à bons nombres de pépites bourrées d’originalités, devenues des classiques phares comme « Ratatouille » (2007), « Wall-E » (2008), « La-Haut » (2009), « Toy Story 3 » (2010), « Vice Versa » (2015) et la dernière merveille mexicaine en date « Coco » (2017), « Les Indestructibles » (2004) reste à mes yeux sans hésitation l’un de leurs plus grands chef d’œuvre ! Aujourd’hui le film joui d’un statut culte, d’une des plus grandes fan-base de Pixar, parmi les meilleurs films d’animation de l’Histoire et même…pour moi le meilleur film de Super Héros jamais crée !!!
. « Les Indestructibles » de Brad Bird (2004), un film d’animation, qui est pourtant bel et bien à juste titre un film de SH culte et un des pionniers du film de Super-Héros qu’il a contribué à faire renaître/populariser sur grand écran et dans la pop culture au début du siècle, aux côtés des « X-Men » de Bryan Singer (2000), « Spider-Man » de Sam Raimi (2002) ou encore « Incassable » de M.Night Shyamalan (2000) dans lequel Bruce Willis et Samuel L.Jackson ont redonnés leurs lettres de noblesses légitimes aux comics. Hommage succulent aux bons vieux James Bond, nourrit aux influences de Mission Impossible, entre « Les 4 Fantastiques » des comics book de Jack Kirby et Stan Lee (1961), l’animé « Batman » de 1992 et « Les Simpson » de Matt Groening (1989-), « Les Indestructibles » eu l’effet d’une révolution en 2004, aussi bien dans les avancés d’esthétique visuelle avec la modélisation de personnages humains en images de synthèse par ordinateur, mais aussi dans l’ambition et dans la manière visionnaire de concevoir, de traiter du Justicier masqué en collant. Avec « Les Indestructibles », grâce à Brad Bird, le film de Super Héros prenait une toute autre dimension, sociale et d’une profondeur insoupçonnée pour un tel registre !! Rien à voir avec des films kitsch à la testostérone avec des montagnes de muscles en costumes moulants défonçant de gros aliens à la force de leurs poings NON, « Les Indestructibles » fut une œuvre visionnaire au début des années 2000 tout simplement car au-delà de la forme et des traits standards de son genre de film d’action (en plus d’y exceller !!), le film était un véritable film sur la famille et nous présentait des super héros plein de failles, dont l’invincibilité était totalement démystifiée, où ils étaient contraints à l’anonymat par les lois, la politique et l’économie de la société dans laquelle ils devaient se fondre malgré leurs supers pouvoirs. Jamais des super héros n’avaient étés animés d’autant d’humanité et de psychologie, jamais on avait eu autant l’impression que l’animation 3D était un miroir de la vie, jamais un film d’animation n’avait abordé des thématiques universelles de l’âme humaine (crise de la quarantaine, adolescence, vie privée, vie de famille, boulot, chômage….et même une allusion implicite à l’adultère…quand même ^^) et n’avait été doté d’une profondeur de réflexion au-delà du divertissement au même niveau qu’un «Voyage de Chihiro » !
. « Les Indestructibles 2 », 20ème film des studios Pixar, suite des « Indestructibles » (2004), toujours réalisé par Brad Bird à qui l’on doit « Ratatouille » (2007), « Mission Impossible : Protocole Fantôme » (2011) et « Tomorrowland » (2015), nous raconte la suite directe des aventures de la famille super-héroïque.
Face au Démolisseur, Bob, Hélène, Violette et Flèche n’ont d’autre choix que de ressortir le masque. Mais alors que les Indestructibles font tout leur possible pour empêcher la taupe et sa foreuse géante de dévaster la ville, les dégâts n’en sont que multipliés, ce qui vaut à la famille un nouveau passage à tabac au commissariat tandis que Rick Dicker, l’avocat tente de les sortir de ce mauvais pas. Contrainte au silence par les lois dans un motel puisque leur ancienne maison a brulée, la famille Bob et Hélène s’interrogent sur l’avenir de la famille alors qu’une fois de plus, les super héros sont pointés du doigt. C’est alors que leur ami Lucius/Frozone leur apprend qu’un certain Winston Deavor, millionnaire à la tête d’une entreprise de télécommunication a pour projet de relancer les supers héros en faisant tout pour changer l’opinion publique à leur sujet. Ce dernier requiert alors l’aide d’Elastigirl. D’abord hésitante, Hélène accepte finalement et décide de laisser à Bob le soin de s’occuper de leurs trois enfants. Mais pendant que Mr Indestructible tente tant bien que mal de gérer les tâches du quotidien (surtout les nouveaux pouvoirs incontrôlables de Jack-Jack), la mission d’Elastigirl est soudainement compromise lorsque la mère élastique se retrouve face à un nouveau bad guy, « L’Hypnotiseur ». Ce dernier semble pour d’obscures raisons en vouloir aux super héros… . Mais qui est réellement cet Hypnotiser et quelles sombres ambitions se cachent derrière son plan machiavélique ? Pourquoi semble-t-il nourrir une haine envers les supers ? Les indestructibles et Frozone réussiront-ils à sauver une nouvelle fois la planète de la menace ? Et surtout, qu’adviendra-t-il des Super Héros ??
Voilà pour le pitch global sans trop en spoiler.
. Verdict : Mon objectif avec « Les Indestructibles 2 » était des plus simples…et pourtant des plus difficiles ; j’espérais de tout cœur revivre cette même expérience, ce même frisson de plaisir, cet émerveillement procuré par le premier volet en 2004…j’espérais de tous cœur que le 2 me ramènerait en enfance, j’espérais au plus profond de mon être, arriver à retrouver mon « Moi » âgé de 7 ans en 2004. Est-ce que « Les Indestructibles 2 » a rempli cet objectif ? TOTALEMENT !!! Bon Dieu que je suis ravi de chez ravi ! C’est fait, Pixar l’a fait, Brad Bird l’a fait, ils ont réussi : faire une suite parfaite à un premier film parfait ! Oui les miracles ça existe et indéniablement cette suite en est un ! A des milliers de kilomètres de ce « sympathique réchauffé » qu’était « Le Monde de Dory » en 2016, « Les Indestructibles 2 » est la meilleure suite qu’on ait eu par Pixar avec Toy Story 2 & 3 ; une suite de la trempe du génial « Dragons 2 » de Dreamworks en 2014. Et pourtant le défi était de taille, 14 ans d’attente et une hype d’une ampleur telle que Pixar n’avait absolument pas le droit au moindre faux pas sur cette suite de l’un de leur film d’animation les plus apprécié des fans ! Qui plus est les choses ont bien bougées en 14 ans et aujourd’hui, les films de Super Héros sont devenus LE fer de lance de l’industrie Hollywoodienne, entre le Marvel Cinématographique Universe et le DCU, battant des records au box-office mondial. C’était donc un véritable défi que devait relever « Les Indestructibles 2 » à savoir s’imposer de nouveau dans un genre qu’il a lui-même contribué à façonner une décennie et demi avant ! Une tâche ardu que de reconquérir son titre et de plaire à un même public, grandit et qui plus est nettement habitué à ce genre de « choc » depuis le temps ^^. Et pourtant….Marvel et DC peuvent trembler car le roi du film de Super Héros, Brad Bird est de retour plus en forme que jamais dans une suite miraculeuse, marchant de très près dans les traces de son aîné ! Ainsi donc, « Les Indestructibles 2 » vient remettre les pendules à l’heure et nous redonner une leçon, nous rappeler ce qu’est un vrai bon film de Super Héros dans toute sa splendeur !!! Quel plaisir, QUEL PLAISIR IMMENSE de retrouver la famille Indestructibles après tout ce temps !
. Armé d’une nouvelle histoire avec beaucoup de suite dans les idées, Brad réussi avec une aisance incroyable à écrire un scénario en béton dont la cohérence impressionne ! Le réalisateur parvient avec une efficacité redoutable à nous ramener instantanément 14 ans en arrière, par de simples raccords, en quelques secondes….à gommer 14 ans, quelques secondes qui auront ironiquement été les plus longues de toute notre vie. Dès l’apparition du château de Disney lors de l’ouverture du film, dès l’apparition de la lampe de bureau sautilleuse accompagné des notes de musiques familières de Michael Giacchino…instantanément on est remis dans le bain et on retrouve toute la famille comme si on ne les avait jamais quittés ! Le film commence dans le feu de l’action et nous hypnotise littéralement pour les 2h qui suivent. Le scénario est très ingénieux, recherché, tantôt épic, tantôt léger et comique, tantôt pouvant basculer dans le sombre presque stressant, Bird nous fait vivre de véritables expériences ou l’émotionnel et l’esthétique se rejoignent, en réussissant à user de tous l’éventail de l’émotion. Au-delà de la simple idée d’inverser les rôles et de mettre Elastigirl au premier plan, en aucun cas le film n’est un miroir inversé/plagiat du premier opus ; ni la forme ni le fond ne ressemble au premier film, jamais le réalisateur ne donne l’impression de se reposer sur ses acquis et cherche à aller encore plus loin dans les thématiques posées auparavant. Cette fois Brad Bird ose aller jusqu’à questionner, remettre en question le rôle du Super Héros face à la société et à la Justice, la perception médiatique du SH ! « Les Indestructibles 2 » arrive à nous toucher en plein cœur, à nous rappeler les « Spider-Man » de Sam Raimi (2002-2007)
(la scène ou Elastigirl tente d’arrêter le train dont le conducteur est contrôlé par l’Hypnotiseur rappel beaucoup Tobbey McGuire dans « Spider-Man 2 » (2004) essayant d’arrêter le train de toutes ses forces jusqu’à s’en déchirer le super costume)
dont il se rapproche énormément de part ses scènes presque clins d’œil et sa façon de donner autant d’épaisseur psychologique aux supers héros et au super méchant ! Surtout que depuis le premier, Brad Bird a nettement renforcé sa mise en scène en terme de scènes d’action, notamment la surexcitante
séquence de la course poursuite ou Hélène-Elastigrl poursuit le train à moto extensible en sautant des toits en toits allant même jusqu’à rouler sur un grue ; et puis aussi la séquence d’abordage de l’hélicoptère…
on reconnaît bien là la pâte du réalisateur de « Protocole Fantôme » (2011), soit dit en passant, le meilleur « Mission Impossible » qui soit !
. Le film est encore une fois d’une intelligence jamais vue pour un film d’action super héroïque. Brad Bird est décidément l’un des seuls réalisateurs américains à avoir comprit que les films d’animation n’étaient pas réservés qu’au jeune public et pouvaient aussi délivrer une grande réflexivité. Parce que « Les Indestructibles 2 », ça te parle Sexisme, ça te parle de politique et des médias, le tout avec une très grande subtilité, sans jamais nous envoyer sa réflexion en coup de poing dans la poire et sans jamais tomber dans les clichés Marveliens du genre (je suis fan du MCU, pas taper). Je vais re-citer les dires de Brad Bird que j’ai trouvé à propos du film dans un magazine Première : « Si on avait envisagé Les indestructibles 2 comme un film de superhéros, on se serait mis dans de beaux draps » ; à partir de là on comprend toute la démarche du réalisateur qui l’avait déjà expliqué à l’époque de la sortie du 1, dans « Les Indestructibles », le côté superhéros n’est pas et n’a jamais été l’objectif premier du film, mais avant tout il s’agit de s’en servir pour illustrer, métaphoriser une histoire de Famille. C’est exactement la même ADN qu’avec le premier, je dirais même que celui-ci parle encore mieux de la famille que le premier sur ce point ! Il n’a jamais été question de facilité dans l’inversion des rôles mais d’une piste pour pousser la critique encore plus loin, pour montrer la difficulté d’être parent au quotidien.
. Les personnages sont toujours à tomber ! Dotés d’un super développement (hormis peut-être Flèche qui passe plus au second plan par rapport aux autres mais d’un autre côté il avait été plus développé dans le premier à contrario de Violette donc normal que Bird rééquilibre la balance), l’intrigue de la suite permet d’approfondir encore leur caractère à travers les défis du quotidien auxquels ils doivent faire face malgré leurs pouvoirs ; en particulier Violette (ma première waifu <3)
qui fait face à un Tony dont Ricker a effacé la mémoire après que celui-ci ait aperçu la fille Parr dans son costume sur le parking au tout début,
Jack-Jack dont les supers pouvoirs imprévisibles donnent lieu à des gags géniaux, tout le monde retiendra la séquence déjà culte de
son combat contre le raton laveur (RIP Rocket des Gardiens de la Galaxie MDR ^^^)
et Elastigirl qui devient ici un véritable homologue féminin de James Bond, Ethan Hunt et Spider-Man à la fois, à la flexibilité d’une badassitude digne de John McLane de « Die Hard » ! Le côté espionnage du film est vraiment stylée,
en plus des séquences d’action de la moto élasti-cycle et du sauvetage de l’hélico, une qui marque particulièrement est le premier affrontement entre Elastigirl et l’Hypnotiseur dans la cage à lumière stroboscopique (assez violente puisque Hélène se prend même carrément un coup de matraque électrique, pour des gosses c’est chaud !). Pour le coup j’ai beaucoup pensé à Bruce « David Dune » Willis dans « Incassable » (2000) à la fin.
. L’antagoniste était le seul point noir à craindre (passer après Syndrome c’est quand même un sacré challenge, c’est comme Julianne Moore dans « Kingsman 2 » qui passe après Samuel L.Jackson dans le premier)…eh ben non ; le méchant est excellent !! Syndrome est inoubliable pour son côté bouffon (et sa coupe de cheveux) mais alors l’Hypnotiseur, lui il fait vraiment froid dans le dos ! Alfred Hitchock avait entièrement raison lorsqu’il disait : « Plus réussi est le méchant, plus réussi sera le film » ! Le réalisateur du « Géant de Fer » (1998) à appliquer les conseil du maître du suspens à la lettre en créant un antagoniste masqué, mystérieux, machiavélique, manipulateur, agissant dans l’ombre en contrôlant les gens via les écrans ! Brad l’a entièrement compris, intégré, pas besoin d’une menace extraterrestre ou quoi que ce soit d’une autre galaxie lointaine, très lointaine, la noirceur du monde se terre dans notre quotidien ! L’idée de génie qu’a eu le réalisateur à travers ce méchant est d’établir
une critique de notre société de consommation et des écrans. Dans notre société, tous les jours, nous sommes cernés par des écrans, accros aux écrans, ils sont omniprésents. C’est à travers une critique de cette omniprésence des écrans que s’inscrivent toutes les ambitions de l’antagoniste. Ici l’omniprésence des écrans devient une arme de propagande, une arme capable de contrôler, diriger la perception des gens, et c’est là-dessus, en poussant la thématiques des écrans et des médias à son paroxysme que Bird construit le personnage de L’Hypnotiseur. Et le fait qu’il s’agisse d’Evelyne Deavor est une autre excellente idée (là encore un engagement féministe, mais absolument pas barbant car les ambitions du personnage ne tourne absolument pas autour de ça), le personnage souhaitant utiliser les écrans pour contrôler les supers héros et les faire agir de sorte à ce qu’ils deviennent des criminels, pour que les gens ne soient plus faibles, dépendants et aliénés aux supers héros.
Perso j’ai bien flashé sur Vortex, son pouvoir inter-dimensionnel est bien stylé aussi et permet des séquences d’action bien inventives.
. Côté casting, alors là honnêtement, j’avais peur ! On aura tout d’abord une pensée au regretté Marc Alfos parti trop tôt en 2012 (RIP Marco ^^), quand j’ai appris que Mr Indestructible allait être doublé par Gérard « Manny » Lanvin, j’ai été très inquiet ; j’imaginais vraiment pas la voix grave du mammouth de « L’Âge de Glace » mais au final très agréablement surpris, l’acteur, bien qu’il ait dit ne pas s’être inspiré du travail vocal d’Alfos, a bien réussi à ajuster sa voix, quand à Louane qui succède à Lorie au doublage de Violette…ben là aussi ça passe beaucoup mieux qu’attendu ; pour un troisième essai à l’exercice après Poppy dans « Les Trolls » de Dreamworks (2016) et « Sahara » en 2017, la jeune actrice de « La Famille Bélier » (2014) confirme ses très bonnes aptitude au doublage !
. Bon, je pense que je vais m’arrêter là, je pense en avoir dit bien assez. Pour conclure, « Les Indestructibles 2 » est un vrai coup de génie ! Une suite parfaite de ce qui était déjà un chef d’œuvre du film de super héros. Meilleur ou inférieur au premier ? Je ne saurais le dire, du moins j’aurais tendance à dire inférieur au premier mais juste parce que je n’ai pas encore autant investi affectivement le deuxième mais avec le temps, je pense qu’il occupera très vite une même place de choix dans mon cœur ! Après la merveille « Coco » en 2017, Pixar revient plus en forme que jamais avec la meilleure suite de leur catalogue avec celles de « Toy Story ». Définitivement « L’âge noir » Pixarien semble derrière, j’espère du moins que « Toy Story 4 » l’année prochaine ne me fera pas regretté d’avoir dit ça ; il y a de quoi avoir peur mais je préfère l’optimisme. Merci de tout cœur Brad Bird, merci Pixar, maintenant l’enfant que je suis va pouvoir pleinement devenir adulte !!!
PS : le petit court métrage « Bao » était tout mignon, j’ai hâte de voir ce que Domee Shi nous proposera aux commandes d’un prochain long métrage Pixar prévu pour 2020 !!