Il y a plus d'un an, Antony Pazzona, grand ennemi de Paranormal Activity ( Hé, Hé ), a annoncé un gros projet du nom " Les Lettres de l'Angoisse " inspiré du film The ABCs of Death et qui serait, comme ce film, une anthologie de courts-métrages qui se suivent comme les lettres de l'alphabet ( 26, donc ) et dont chacun d'entre eux seront réalisés par un ou plusieurs youtubers différents dont Antony lui-même, 100pseudo ou Valentin Breheret des Chroniques du Cinéphile entre-autres.


Finalement, ce projet, après plus d'un an de développement, a pu finalement avoir un avant-première et est sorti sur Youtube, il y déjà 4 jours. Comment ce gros projet s'en est-il sorti selon moi ? C'est ce qu'on verra dans cette critique en disant mon avis sur chacun des 26 courts-métrages de ce film


A


Ce tout premier court-métrage, Angle Mort, est réalisé par une réalisatrice et monteuse de courts-métrages, Alexandra Mignien et dés d'entrée de jeu, elle nous montre directement son talent que ce soit dans la réalisation et la narration. L'utilisation de la lumière, la façon de comment est instaurée la peur ainsi que l'ambiance sont pesantes et jouant beaucoup avec l'espace des pièces de la maison et les reflets. Ce que je regrette un peu, c'est que ça ne se limite qu'à son concept ( à savoir un traumatisme du à un viol et la peur que cela puisse recommencer ) sans aller plus loin mais ce n'est que chipotage tellement j'ai été immergé dedans. Bref, un premier court-métrage très réussi.


B


Bras, réalisé par le détenteur de la chaine GillusZG , est malheureusement à titre personnel pas ouf. Pour être juste, c'est pas trop mal filmé et il y a des petites idées de mise en scènes ( par exemple, le petit plan séquence qui se dirige vers le salon au début du court-métrage ou encore l'utilisation du miroir pour montrer la présence du bras à travers le reflet alors qu'en avant-plan, il n'est pas présent ) ainsi que l'idée de base qui est pas mal ( Surement la peur de la tentation ou 'de finir enfermé mais je peux me tromper ) mais c'est un peu gâché par un jeu d'acteur assez discutable et que l'utilisation de bras, à part une idée de mise en scène, est peu exploitée. Assez déçu de celui-là malgré les qualités que j'ai cité.


C


Le thème de ce court-métrage du nom de Comédiens est celui de la peur de la scène. réalisé par le détenteur de la chaine ProjetsVentilo, il nous donne une expérience assez interessante jouant avec les peurs du personnage principale par l'utilisation d'effets sonores comme des rires d'un publique ou les cuts entre les deux personnages des comédiens, par exemple. A noter que pour le coup , le jeu d'acteur est vraiment bon, bien au service de la narration et de son sujet. Au final, un court-métrage maitrisé et assez intéressant selon moi.


D


Premier court-métrage du film en noir et blanc et réalisé par Johnny de la chaine Reservoir Vlog, on a droit ici pour Dream Over à un concept se basant sur la paralysie du sommeil. Si le jeu d'acteur reste un peu à désirer, la créature est graphiquement réussi sans tomber dans le cheap et dont l'utilisation du ratio et des ombres rendent la créature assez oppressante. Seulement, le problème que j'ai avec ce court-métrage, c'est que le sujet méritait d'être plus exploité avec plus de temps car juste 5 minutes, c'est trop peu pour un tel sujet. Pour conclure, bon court-métrage mais méritait un peu plus d'approfondissement.


E


Etrange Etranger réalisé par les détenteurs de la chaine Freak Motion Studios ( qui ont également fait le générique d'intro pour Les Lettres de l'angoisse ) nous propose ici le premier et seul court-métrage d'animation de cette anthologie dont le style de peur utilisé ,ici, est celui de l'autre. Pour commencer, l'animation en stop-motion est très réussie est brillamment animée et le sujet est traité correctement mais on sent que ça pourrait être mieux( encore une fois un sujet qui marcherait bien mieux si ça ne durait pas que 5 minutes ) et malheureusement, le jeu d'acteur reste assez inégale et les effets sonores sont assez étranges. En gros, Court-métrage bien fait mais encore une fois aurait pu aller plus loin.


F


Anal Genocide nous livre ici dans Forêt un court-métrage très expérimentale sous forme de diaporama très inspiré à la Godard ( par l'utilisation de la voix-off et du noir et blanc ). Le sujet, ici, semble être la peur de la solitude, voir de la nature avec cet aspect en noir et blanc qui renforce le côté claustrophobique de la forêt et laissant supposer la présence d'un monstre dans cet endroit dans lequel notre personnage s'enfonce de plus en plus. La photographie de ce court-métrage est très réussi et le thème abordé est plutôt bien exploité mais, et c'est personnel, je ne suis pas spécialement fan de l'utilisation de la voix-off pour ce métrage ( mais après c'est un choix artistique ) et le thème de l'alcool reste assez simpliste ici. Bref, pas spécialement fan mais un court-métrage assez bien fait techniquement.


G


Dead Will nous donne ici Girl dont le style de peur, ici, est assez floue ( Est-ce celui des violences conjugales ? Celui du silence ? De soi-même ? De la critique ? D'exister ?) et je n'arrive pas à le décerner. L'idée que l'héroïne exprime ses craintes par des dessins est une idée plutôt sympa mais ça reste assez en surface et la narration fait malheureusement très pub sans compter d'une mise en scène assez bancale ( à part le retour à la couleur dans le dernier plan et le début avec les dessins, il n'y a rien de particulier ). Personnellement, pas du tout fan de ce court-métrage qui est assez vain pour être gentil.


H


Réalisé et tourné par uniquement Antoine Gardin de la chaine 100pseudo avec la présence de son chat, on a ici un court-métrage en noir et blanc avec l'exception de certains éléments en rouge, Pour commencer, c'est super bien fait dans le style visuel qui est ce mélange entre le noir et blanc avec du rouge pour certains éléments et ça va beaucoup joué dans le hors-champ et sur la couleur rouge pour montrer la présence de la créature caché dans la cave de notre protagoniste. Seul regret, le jeu d'acteur encore une fois assez discutable mais rien que pour avoir fait le court-métrage seul avec une telle maitrise de l'angoisse, selon moi, c'est l'un de mes préférés de ce film.


I


Etant un Black Mirror version The FilmTalker ( réalisateur de ce court-métrage ), Incarcéré nous projette la peur de l'isolement et de se sentir observé dans lequel on suit un quotidien de notre protagoniste, joué par Merej, qui se répète inlassablement. La mise en scène est assez réussi, une mise en tension plutôt correcte, Merej qui s'en sort assez bien en tant qu'acteur sans être exceptionnel mais voilà, je trouve la photographie assez moyenne. Autant dans l'intérieur , ça marche plutôt bien mais à l'extérieur, ça a beaucoup moins d'impact et donne presque l'impression d'être moins travaillée. Néanmoins, cela reste un assez bon court-métrage.


J


Nicolas Delage réalise ici, Jambe dans lequel le thème n'est pas spécialement une peur mais ça traite du cannibalisme se passant chez une famille. Si au niveau des acteurs ( dont un enfant ) et de l'actrice, c'est plutôt bien et que c'est bien mise en scène, on sent que le sujet aurait pu aller plus loin ( par exemple, le moment où le " père " s'emporte, ça aurait pu plus se creuser ) et le twist, bien que réussi, le court-métrage ne se limite que sur ça. Bref, plutôt mitigé sur celui-là..


K


Le court-métrage Kровь, réalisé par INTHEPANDA montre ici un casting de film porno parlé uniquement en anglais où on note la présence d'une des Miss Europe, Anastasiya Ammosova. Tout le côté perturbant se joue ici dans le côté presque interview du métrage et un peu found footage ( voir snuff movie vers la fin du métrage ) pour le fait qu'on est dans le point de vue du caméraman. Le jeu d'acteur est assez correcte et l'aspect malaisant est très réussi mais le choix de l'utilisation de la caméra, je pense que cela ne plaira pas à tout le monde vu le choix derrière. Un court-métrage assez sympa mais qui ne plaira surement pas à tout le monde.


L

Principalement réalisé par Jules Trassard de la chaine Les Gardiens de Cinéma, Lisière utilise comme type de peur, celui d'autrui dans lequel une femme embarque dans sa voiture, un homme qui semble être un harceleur sexuel. La mise en scène est ici l'un des plus soignées du film, inspirée à la Orson Welles ( les axes de prise de vues / David Lynch ( pour une scène particulière où l'homme est à l'extérieur de la voiture ) qui joue beaucoup sur le suspense aidé par une narration maitrisée ainsi que Les acteurs qui, ici, sont très bon dans leur rôle. Pour le cas, c'est également un de mes courts-métrages préférés de ce film.


M

Laurent Champlain de la chaine Horreur Critique nous propose ici, Mauvaise pioche qui s'intéresse au style du Torture Porn où un cambrioleur va s'infiltrer chez un psychopathe. Bien que ce soit fait en noir et blanc, le court-métrage, ne semble pas beaucoup donner un alibi pour la raison de ce choix ( ça aurait pu se faire en couleur, ce serait la même chose ) et bien que ce soit bien filmé, ça reste plutôt classique avec peu d'inventivité dans la mise en scène. Les acteurs ici, ont un jeu assez discutable mais vraiment, je ne dirai pas que c'est mauvais mais juste bancal et rien de plus.


 N

Non ( le court-métrage ) est réalisé par Valentin Breheret de la chaine Les Chroniques Du Cinéphile dont on explore une personne qui commente ses propres pensés avec l'utilisation de certaines images de sa demeure. Dit comme ça, ça a l'air très simpliste et pourtant ce court-métrage brille par l'écriture de sa voix-off, l'utilisation des cadres qui est très maligne ( dont par exemple celui où on voit les personnages mais cadrés au niveau des pieds donnant un côté assez mystérieux à ceux-ci ). Là où ça pêche un peu, c'est le son qui est pas toujours au point et le jeu d'acteur qui encore une fois, reste assez discutable. Néanmoins, très bon court-métrage et un de mes favoris mais a quand même des faiblesses.


 O

Pour le court-métrage Oxygène, Clément Schmidt de la chaine Dex et le cinéma a filmé le tout en plan fixe où on voit un homme en train de s'étouffer au sol et qui se fait secourir. Le plan est très bien composé au niveau de la lumière, le jeu d'acteur s'en sort plutôt bien mais voilà, tout ce qu'on voit dans ce court-métrage, c'est juste un homme qui s'étouffe par manque d'oxygène et dont on se pose la question de s'il va survivre ou pas donc niveau histoire, ça se pose là. Ce court-métrage est bien foutu techniquement et dans son jeu mais ça reste trop simpliste.


  P

Nommé sous le doux nom de Pénis, ce court-métrage est réalisé par le détenteur de la chaine de DrawerTV où il nous crée une histoire dans le style du " rape and revenge " ( dont l'exemple d'un film de ce genre, c'est le controversé I Spit on your Grave de Meir Zarchi en 1978 ou également La Dernière maison sur la gauche de Wes Craven en 1972 et son remake de 2009 ) mêlé à du torture porn. Niveau mise en scène, c'est pas mal filmé et l'idée derrière pouvait marcher mais j'ai un problème avec ce métrage, son manque total de nuance sur son message car ici, on a juste affaire à une femme qui torture un homme juste par plaisir sadique pour faire une peinture. Peinture qui à aucun moment n'est utilisé pour donner un sens dans la mise en scène. L'acteur et l'actrice ont malheureusement un jeu assez tiède et je dirai que pour ce métrage, c'est pas entièrement nul dans l'idée mais très peu nuancé et approfondi dans le résultat.


  Q

Le youtuber Lucas Cothias nous livre ici Quenotte ou un jeune homme hypocondriaque se partage une bouteille avec ses amis mais avec un twist. Pour commencer, on a une photographie sublime au niveau de sa lumière et de ses plans ( la scène des toilettes et celui du couloir vers le début du métrage en sont un bon exemple ). La mise en scène est très soignée aidée par la photographie et qui donne ce sentiment de mal à l'aise constant durant le court-métrage ainsi que le jeu d'acteur qui est plutôt soigné. Bref, également un de mes favoris dans ce film.


  R

Venant de Zoltan Zidi de la chaine Critique de Zoltan ( anciennement la Critique Masquée ), on a Raccroche dont une femme se fait attaquer par quelqu'un chez elle. Niveau mise en scène, c'est très soigné dans lequel le métrage est filmé en plan-séquence dans lequel on suit le personnage de l'amie de la fille agressé de son point de vue. Pour le jeu d'acteur, c'est pas vraiment ça. C'est peut-être personnel mais je trouve le jeu d'acteur un peu trop aux fraises et ça gâche un peu l'immersion. En gros, bon court-métrage mais perfectible/


  S

Ici, nous avons le premier et seul court-métrage réalisé en duo, Solitude, réalisés par Flower Hybride ( anciennement connu sous le nom d'Elvis Grandier ) et Antony Pazzona dont le type de peur montré est celle de la solitude où on voit une femme seule dans les rues de Paris. Choix intéressant de ce métrage, le film est silencieux donc pas de répliques et se base surtout sur le jeu de l'actrice et ça marche du feu de dieu car l'actrice est vraiment excellente ici. La mise en scène est excellent jouant beaucoup sur des plans larges voir même anxiogènes renforçant la solitude de nôtre protagoniste ( et dont le fait que Paris est vide dans ce court-métrage fait un peu penser à la scène de Londres complétement vidé de ses habitants lors du réveil d'un des survivants dans le film 28 jours plus tard de David Boyle ) voir l'amenant vers la folie. Bref, excellent court-métrage et un de mes favoris.


  T

Après avoir été acteur dans un des courts-métrages, Merej nous donne le sien, Terminus ( le nom fait surtout penser à un film avec Johnny Hallyday datant de 1987 mais bon.. ) qui n'est surtout qu'une simple compilation d'images de la manière du film Koyaanisqatsi. A titre personnel, je ne vois pas trop ce qu'il a voulu essayer de montrer. Est-ce qu'il voulait montrer que malgré qu'on continue notre quotidien, il y a toujours des trucs horribles qui se passent ? D'accord mais la façon de faire est assez bancale et maladroit. Ce ne sont que des images qui se suivent juste après les autres sans vraiment qu'il y ait réellement de sens entre elles et si c'est pour faire réagir, ça réussi mais pas de la bonne façon. C'est dommage car il y avait de quoi faire dans l'intention de base et pour moi, ce court-métrage est un malheureux échec.


  U

Pour Unknown fait par Romain de la chaine La Suite de Trop, on suit ici une femme surmenée au travail qui se fait harceler à coup de téléphone alors qu'elle veut dormir. Bien qu'on a un changement de ratio, on a une mise en scène qui utilise beaucoup la profondeur du champ mais le problème que j'ai avec ce métrage, c'est le jeu d'acteur qu'on dirait que ça n'a rien de naturel même dans leurs mouvements et l'histoire, bien que sympa, aurait pu donner un peu plus. Bref, Unknown est juste correct sans plus.


  V

On change de registre avec Vendre son âme réalisé par Azz l'épouvantail vu qu'ici, ça se rapproche plus d'une comédie horrifique où ça traite du sujet du syndrome de la page blanche. Niveau mise en scène, c'est plutôt bien filmé et le costume de la créature pour ce qu'on voit est sympa ainsi que les prothèses sur la fille qui sont très réussis mais une utilisation d'effets sonores un peu étrange et un jeu d'acteur assez discutable. Pour ce que c'est, ça passe mais perso, je m'attendais peut-être à mieux.


  W

Le court-métrage Weed réalisé par le Youtuber Romain Houles sert ici de gros délire où un homme se fait un gros trip en consommant de la drogue. Niveau mise en scène et montage, on a surtout affaire à des plans très colorés dans une ambiance sale et le montage joue beaucoup sur ce côté trip où des tas de choses sa passent, à noter que les effets sont vraiment bien faits dans ce métrage ( le canapé qui tombe par exemple ). Niveau du jeu d'acteur, c'est pas extra mais ça passe. Ce que je trouve un peu dommage , c'est que ça ne se limite qu'à son concept et rien de plus. Weed est un court-métrage correct mais qui aurait pu être plus.


  X

Judith Beauvallet de la chaine Demoiselles d'Horreur réalise ici Xérès pour le film. En terme de mise en scène, c'est bien composé au niveau de la lumière et des plans et le jeu des actrices passent mais problème étant que selon moi, le scénario n'est pas toujours clair dans ce qu'il essaye de raconter car au départ, ça fait très feel-good avant que seulement vers la fin, ça revient dans l'horreur. ( je veux bien une montée en tension où on croit que ça passe bien mais que ça se termine mal vers la fin mais là, j'ai l'impression que la fin arrive comme un cheveu sous la soupe ). Pas mauvais au niveau de la technique mais je trouve ce court-métrage pas très clair dans son histoire.


  Y

La lettre Y appartient à Matthieu Bloome ( créateur de la défunte chaine Etat Critique et réalisateur d'Odyssey: Sur les traces de Sam Neil ) avec son court-métrage Yeux sur la route dans lequel on suit le point de vue d'un véhicule qui appartiendrait à un tueur. Niveau mise en scène, c'est filmé depuis une dash-cam ou caméra emporté, ce qui donne ce côté imparfait de l'image mais justifié par l'utilisation de cet appareil. Niveau ambiance, ça marche plutôt bien mais un truc gâche un peu: la fin, qui n'est qu'un simple jumpscare où la caméra fonce sur un des personnages. Néanmoins, si on met de côté cette fin assez décevante surtout vu le concept, le court-métrage est très bon.


  Z

Pour finir le film, Mickael J de la chaine MJ - FERMEZ LA obtient la lettre Z pour son court-métrage Zen où une personne affronte ses démons intérieurs en méditant. Pour commencer, niveau mise en scène, c'est malheureusement très amateur ( ce qui crée déjà un gros écart avec ceux des précédents courts-métrages ), les lumières sont clairement pas travaillés, surtout pour les néons et ce malgré que ce soit bien filmé. Pour l'ambiance, c'est tout aussi pauvre. Aucun jeu des lumières ou même des ombres, c'est juste fade. Pour les démons intérieurs ( et c'est triste à dire ), c'est juste MJ qui a enlevé son attache-cheveux et rien de plus ( Alors oui quand on les voit la première fois dans le plan avec le protagoniste,, l'incrustation marche mais individuellement, ces démons ne font aucunement peurs ) et sans parler du jeu d'acteur qui n'aide pas malheureusement. C'est dommage car l'idée des démons intérieurs et les combattre par la méditation, c'est une idée qui pouvait marcher mais voilà, c'est juste en surface et ça se résout beaucoup trop facilement. Finalement, un malheureux échec pour terminer ce court-métrage ainsi que le film.


Pour conclure, ce film a montré des bonnes choses comme des moins bonnes mais la participation de chaque youtuber pour rendre ce film faisable est à saluer. Ce film ne plaira pas à tout le monde mais ça reste une expérience à découvrir au moins une fois pour avoir son propre avis.


Pour les participants dont j'ai beaucoup aimé le court-métrage, continuez dans cette voie et bien sur continuez à vous améliorer, vous êtes tops. Par contre, pour ceux dont j'ai trouvé le court-métrage moyen voir nul, Continuez d'essayer, prenez en compte les erreurs que moi ainsi que d'autres ont mit en lumière et vous vous améliorez. Néanmoins. Belle expérience, merci et Bonne suite pour tous les participants.

PedroMartins
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le 11 nov. 2021

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Pedro Martins

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