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Big City Lights
Il est facile de réduire ce City Lights à sa bouleversante scène finale. Elle le vaut bien cependant tant elle se fait la synthèse de ce que le cinéma muet a de meilleur. L’absence de parole est...
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Les Lumières de la ville par Ygor Parizel
Charlie Chaplin prévient dès le premier carton que City Lights est une pantomime. Il renoue après quelques infidélités avec le cinéma de son époque muette, une suite de saynètes au comique visuel ou l'inventivité ne réside pas dans les situations mais dans le charme désuet des gesticulations, des mimes d'ivrogne, des bagarres ou d'un match de boxe ou les regards langoureux envers la petite vendeuse de fleurs aveugle. Oeuvre mythique des cinquante premières années d'existence du cinéma.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mon Top 1931 des meilleurs films, Les 1001 Films à voir avant de mourir de Steven J. Schneider et Les 100 meilleurs films de la décennie 1930-1939 selon Ygor Parizel
Créée
le 3 mars 2020
Critique lue 83 fois
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