Ce film est une banane entourée de superbes images. La technique est impressionnante pour l’époque. Mais alors le reste...
Acteurs au fraise : on arrivera pas à me faire croire que Stewart Granger est allé plus loin que la Côte d’Azur. Les seconds rôles n’existent pas. Et la pauvre Deborah « femme objet » qui développe un mélange entre le syndrome de Stockholm et celui de la cassoss.
Et que dire de ce regard malveillant sur le continent africain entier, le desir de le faire passer pour mystérieux disparaît très vite pour le comparer à un musée des horreurs et une exposition coloniale (la pour le coup plutôt raccord au bouquin).
Je pourrai en dire beaucoup plus mais j’ai déjà perdu 1h42 + ces quelques lignes, c’en est beaucoup trop.