J’aime les enjeux qui se dessinent dans ce quartier de geishas entre jeux de pouvoir, d’argent, de réputation et en filigrane également la réalité de la prostitution et les raisons de l’exercer.
Je lis la scène de fin comme l’acceptation de la jeune fille et de sa « sœur aînée » de leur condition sans honte ni culpabilité du moment qu’elles s’épaulent et se soutiennent entre elles.
J’aime aussi toute cette discussion entre les mœurs « d’avant-guerre » qu’incarne la Mère de la maison de geishas qui constratent avec la vision de la liberté féminine moderne incarnée par le personnage de la jeune maiko.
Ce film confirmait déjà que… men are trash.