Dans le sillon de Kusturica, Renoir, Guediguian et Cassavetes. Une bourrasque, une déflagration, une tornade. Pas d’autres mots pour définir Les Ogres, cette fresque atypique, généreuse, débordante, enflammée. Et un peu agaçante, parfois, reconnaissons-le. Mais posons la question franchement : depuis combien de temps avait-on vu un film français aussi puissant et débridé ? Je ne vois pas... C’est dire la surprise que provoque ce deuxième long métrage, signé Léa Fehner, après Qu’un seul tienne et les autres suivront (2009). La surprise – ou plutôt le coup de tonnerre.
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