Lors de la soirée du réveillon, un jeune homme entreprend de séduire la femme qu'il aime, mais à cette occasion, plusieurs personnes qui n'ont pas été invitées vont taper l'incruste, et semer la zizanie pour démarrer la nouvelle année.
Philippe de Chauveron est aujourd'hui connu comme étant le réalisateur de la saga des Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu, mais il a également signé ce premier film, qui a peu à peu acquis une certaine réputation, au point d'être considéré comme culte, alors que c'était un échec à sa sortie.
Il y a bien entendu des choses marrantes, comme Elie Semoun qui est fan de la série Navarro, ce qui ne parlera à plus personne née dans les années 2000, Lionel Abelanski qui incarne un criminel sorti de prison et qui à tout le monde qu'il a changé, ou encore le cameo d'un humoriste célèbre à la toute fin du film...
Mais pour cela, il faut bien dire que tout cela très mal vieilli ; car, sous couvert d'un petit budget, ça se passe en majorité dans cette immense baraque, je trouve qu'au fond, ça ressemble à du mauvais décalque de Jean-Marie Poiré, avec ce rythme frénétique, et des gags souvent pas drôles, comme ceux à répétition sur l'ex du personnage principal qui est un aimant à charge, et quasiment montrée comme moche. De plus, il faut dire dire que l'acteur principal, joué par Oulage Abour, a un peu le charisme d'une bicyclette tant il ne dégage rien.
Je pense qu'il y avant tout quelque chose de l'ordre de la nostalgie qui joue en voyant Les parasites, mais ça n'a pas marché pour moi.