Stupide et vu mille fois, en chaque fois plus stupide. Parangon de l'ère du vide, du politiquement connard dans sa version la plus naze, reconstitution de faits qui n'ont jamais eu lieu nulle part, manichéisme de bazar et appel à la violence dans le sens, naturellement, du meilleur intérêt de la classe dominante, cette maffia mitterrandienne pourrie qui croule sous les scandales financiers, les assassinats politiques, les horreurs pédocriminelles, bref toute la lyre depuis quand même QUARANTE-TROIS ANS. Mais qui continue à donner des leçons à nous autres, le vil peuple : "Touche pas à mon pote", et autres saloperies ringardes.
Ce film, ne nous le cachons pas, ne s'adresse ni aux jeunes, ni aux Parisiens et surtout pas à ceux qui étaient jeunes Parisiens, qu'ils soient redskins ou skinheads, dans les années 1980-1990 et qui se souviennent tout de même un peu beaucoup que la réalité ne ressemble en rien à ce navet de tocards.
Non, il s'adresse aux vieux déchets de papy-boomers sclérosés et cérébralement liquéfiés par plus d'un demi-siècle de foutaises soixante-huitardes, macroniens passionnés et multivaccinés qui n'ont jamais quitté leur hôtel particulier surchauffé de Passy ou de Neuilly pour aller jeter un coup d'oeil dans la vraie rue, histoire de voir comment ça se passe.
Il s'adresse aussi aux petits péquenots qui fantasment la banlieue, z'y va ta mèrrh, se prennent pour des racailles et font des tags comme des losers de la bouse sur la ferme à papa qui, pendant ce temps-là, se crève la paillasse à cultiver son champ (y a des coups de ceinture qui s'perdent, vingt guieux!)
En fait, si on tire objectivement le bilan, il s'adresse à tous les imbéciles nuisibles, ceux qui ont voté deux fois Mitterrand et deux fois Macron, qui ont foutu le pays complètement et définitivement par terre et applaudissent comme des enculés quand les flics éborgnent des gamines parce qu'elles portent un gilet jaune ou quand le sordide et répugnant Lechypre appelle au meurtre contre des gens dont le seul crime est de vouloir simplement faire valoir leur droit fondamental à ne pas se faire inoculer n'importe quoi pour écouler un produit pharmaceutique douteux.
Enfin, comme on l'a dit, il s'adresse aux petits ploucs tarés qui vandalisent la campagne, barbouillent les murs des villages de tags pourris et foutent le feu aux granges parce qu'ils se prennent pour des cailleras. Et donc, si le DVD était contaminé, on aurait la chance de voir disparaître de la circulation toute une frange de la population qui ne devrait manquer à personne avec un QI au dessus de la température anale et plus de moralité qu'un bidet d'hôtel de passe.