Intéressant de revoir Yvan Attal dans le même genre de film, mais dans un rôle différent que celui qu'il tenait dans "partir". Malgré, encore une fois, une histoire aussi ancienne que l'apparition de l'australopithèque (au moins), de par le jeu des acteurs surtout, on arrive à être embarqué dans cette maladie d'amour bête comme chou. La mise en scène flotte une fois ou deux et l'intrigue aurait pu être resserrée afin de garder un rythme plus intéressant. Mais dans le genre, on a vu bien pire. Valérie Bruni Tedeschi est définitivement une grande actrice qui peut passer, dans une seule scène, d'une visage dément à un visage irradiant de lumière et de beauté. A voir.