Grosse fatigue
En voilà un dispositif amusant ! J'aime beaucoup l'idée. C'est peut-être un peu long et un peu répétitif sur la fin, mais ça reste globalement assez drôle de par l'idée mais aussi de par ces phrases...
Par
le 14 juin 2017
2 j'aime
Première expérience filmique du jeune Pierrick Sorin en 1988, le gamin se filme aux premiers mots du réveil en confidence d’épuisements, un essai répétitif et décevant parce qu’incapable d’explorer plus avant les bases d’un
Là où le réalisateur aurait pu tenter de décrypter l’émergence fragile, la frontière violente et volatile de la nuit et de la lumière, de l’oubli profond du sommeil et de la difficile reprise matinale, en filmant ce moment rare de l’ancrage dans le réel, le sujet se contente de répéter jour après jour les mêmes mots de fatigue et la même résolution jamais tenue de
se coucher plus tôt, parce que là c’est plus possible.
L’essai pose certes un regard comique, cynique, sur la nature aventureuse de l’âme humaine, jamais rassasiée de sa journée et qui pourtant a tant de mal à y embarquer, mais échoue sur la
sans recherche de sens, épuisante en moins de temps qu’il n’en faut à Pierrick Sorin pour nous le confirmer.
Créée
le 9 févr. 2017
Critique lue 193 fois
D'autres avis sur Les Réveils
En voilà un dispositif amusant ! J'aime beaucoup l'idée. C'est peut-être un peu long et un peu répétitif sur la fin, mais ça reste globalement assez drôle de par l'idée mais aussi de par ces phrases...
Par
le 14 juin 2017
2 j'aime
Première expérience filmique du jeune Pierrick Sorin en 1988, le gamin se filme aux premiers mots du réveil en confidence d’épuisements, un essai répétitif et décevant parce qu’incapable d’explorer...
le 9 févr. 2017
Du même critique
Marco reprend la photographie. Marco accepte de vivre avec Émilie. Marco a peur pour son père, atteint d’Alzheimer. En préambule à l’album, Manu Larcenet use d’une citation de Jacques Brel pour...
le 8 nov. 2015
10 j'aime
Le premier volume de la série renferme trois histoires courtes à travers lesquelles Peyo esquisse l’univers de ses petits bonhommes bleus et pose les bases de son art du scénario. Trois histoires...
le 5 mars 2015
10 j'aime
2
Adapté de L’Assommoir d’Émile Zola, ce film de René Clément s’éloigne du sujet principal de l’œuvre, l’alcool et ses ravages sur le monde ouvrier, pour se consacrer au destin de Gervaise, miséreuse...
le 26 nov. 2015
7 j'aime
1