Les triplettes de Belleville, cela faisait longtemps que je connaissais ce film que de titre et d'affiche mais, sans savoir pourquoi, je suis passez à côté un bon nombre de fois alors que pour tant de gens, c'est une merveille du cinéma d'animation français.
Et finalement, 20 ans après sa sortie ( je l'ai pas vu à l'époque, j'avais que 10 ans ), je me motive afin de le voir devant mon ordi.
L'histoire c'est une femme âgé qui élève seul un mec passionné de vélo dans la France des années 50/60, le mec s'entraine tellement que ses jambes sont assez solides pour lui permettre d'être parmi les coureurs du tour de France mais pas de bol, des mafieux fans du tour l'embarque avec d'autres coureurs aussi claqués que lui dans la mégalopole de Belleville, sa grand-mère et son clebs Bruno le suivent et vont rencontré trois anciennes stars de music-hall qui vont l'aidé.
L'histoire est trop simpliste, rien de dingue et les dialogues... eeeeuuuuhhh... bah c'est pas hyper développé, si quelqu'un comprends les coups de sifflet vite pénible de la mamie et les incalculables onomatopée deviennent rapidement ridicules et n'aide pas du tout à comprendre l'histoire et puis ce n'est pas avec les trois dames dont les séquences provoque rapidement la gène que l'on va comprendre davantage.
L'univers du film est intéressant mais vite déprimant et nostalgique d'une époque qui en devient redondant et pour avoir regarder des pages sur internet de la BD Le bidendum celeste, je comprends que Nicolas de Crécy reproche au réalisateur Sylvain Chomet d'avoir recopié son univers car c'est ressemblant.
Les personnages, je n'ai vraiment pas grand chose à en dire, ils sont creux, on sait rien de la relation entre la grand-mère et le mec ( ridiculement trop obsédé par le cyclisme ) et les vieilles stars d'avant ainsi que la " mafia du vélo " c'est vraiment pas mieux.
Les triplettes de Belleville est peut-être un classique pour beaucoup qui auraient été plus sensibiliser par son ambiance rétro mais d'autres, comme moi, auraient préférés avoir une histoire mieux élaboré et des dialogues autres que des bruits qui en deviennent pénible