La jungle Amazonienne terre des esprits, de la passion, de toutes les folies, de vérités millénaires.
L’homme blanc, celui par qui le malheur arrive en ruinant la nature, tuant des indigènes, pillant leurs richesses, assassine leur mémoire.
Les personnages principaux sont excellents, un homme de la forêt, un Claude Levy-Strauss Allemand et son aide dans une quête en noir et blanc qui rappelle un peu le Dead Man de Jim Jarmusch, qui à contrario refuse (dans une certaine mesure, parce qu’il y a de beaux plans),le choix de la couleur, qui aurait rendu le film plus « plastique » (c’est mon opinion)
La quête de soi est une strate importante du film, tout a un sens, des règles et nous faisons partie d’un grand tout.
Très belle histoire.
P.S pour avoir connu la forêt Amazonienne, je ne m’allongerai pas comme Evans, pieds nus à même le sol pour y dormir, ce n’est pas conseillé, mais du tout.