Dans la famille Coppola, je voudrais... la fille.
Avec ce court film d'à peine treize minutes, Sofia Coppola pose déjà les bases d'un cinéma pop et languissant, marqué par la mode et l'enfance de la cinéaste, dont on pouvait apercevoir les prémices dans le segment qu'elle avait écrit pour papa pour l'anthologie "New York stories". A l'aide d'un noir et blanc un brin prétentieux et trop arty, elle décrit le monde adolescent dans ce qu'il a de plus cruel et superficiel, évoluant au gré de trahisons et de luttes de pouvoir. Imparfait mais prometteur.