Dans ce nanar affligeant, on a du mal à s'intéresser à quelque chose, sinon à constater que les rivalités (sportives et/ou sentimentales) entre bellâtres conducteurs de voitures (vroum, vroum...) vont bon train. Soudain le spectateur est pétrifié par la scène suivante d'une rare intensité dramatique :
A est peinard chez lui, mais voilà que l'on sonne à sa porte. A va ouvrir et découvre B sur le pas de la porte. Aucun dialogue ne s'engage mais A fout un pain magistral dans la tronche de B.
B ne s'écroule même pas sous le choc d'une violence inouï, son visage est d'ailleurs intact, il se frotte simplement la face et déclare à A :
- Merci j'étais venu pour ça !
(et ce n'est pas un film comique !)