7
Toujours pur !
L’histoire se présente sous la forme d’un conte, celui d’une femme qui malgré sa totale innocence (et naïveté) finit pas causer préjudice aux hommes intéressés par elle pour autre chose que sa pure...
Par
le 12 avr. 2017
2 j'aime
Très belle forme pour humour pas top.
Un film totalement loufoque, qui part dans tout les sens. C'est bien son point faible, jamais le film ne réussit à créer une cohérence, en même temps ce n'est pas son but. Sous une forme de délire d'ami imaginaire il se permet tout. Le problème, c'est que jamais on ne s'attache aux personnages, Le personnage principal prend beaucoup trop de distance par rapport au spectateur. Quant aux personnages secondaires, c'est du même acabit, même si on appréciât particulièrement le japonais imaginaire et son costume vert eau. Alors oui il y a quelques scènes hilarantes, l'amour sur le ballon sauteur, mais elles sont très courtes, et surtout elles font très patchwork. Mais la plupart du temps, les scènes l'humour tombe à l'eau. Reste une mise en scène très esthétique et surtout une BO divine, entre chant japonais pop des années 70, musique de western finlandais et je crois chant hongrois, cela nous reste en tête pendant longtemps.
3
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Films outbuster vus
Créée
le 23 févr. 2020
Critique lue 139 fois
D'autres avis sur Liza, the Fox-Fairy
7
Speed dating au Mac Do de la mort
Ingrédients : femme de chambre (presque) serial killeuse, malédiction morbide de taxidermiste, kama sutra sur ballon de réeducation, karaoké de fantôme flashy, élixir d'amour version poisson qui pue,...
Par
le 9 déc. 2016
1 j'aime
7
La Mort pousse la chansonnette.
Le plus gros problème de ce film, c'est sans nul doute sa distribution : logique, malheureusement, vu que la Hongrie exporte très peu ses films à l'étranger. "Liza, the Fox-Fairy", a un concept assez...
Par
le 21 oct. 2024
Du même critique
8
Documentaire sur un des artistes rock les plus athypiques
Nous voici plongé dans la tête de Daniel Johnston, ou plutôt dans la tête de Daniel Johnston et du diable. Johnston chanteur de lo-fi (un des fondateurs) est bipolaire. Et cela entraine chez lui des...
Par
le 17 sept. 2022
5 j'aime
5
Un sujet ne fait pas tout
Les 10 premières minutes du film commencent un chef d’œuvre, on est dans une prison, au trou, l'univers est poisseux, mais en parallèle porté par une musique que l'on pourrait qualifié de...
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime
9
Critique du travail à la chaine par le comique.
Ce film date de 1936, et pourtant quand on le regarde aujourd'hui, il est frappant de dire que son propos et toujours d'actualité, et que les choses n'ont malheureusement pas changé. C'est bien le...
Par
le 21 mars 2020
3 j'aime
3
