Un écrivain arrive une nuit à Gijon, au milieu d'une tempête. Il est accompagné de sa maîtresse et de son fils. Ce dernier disparait le lendemain, happé par la furie de la mer. A quoi ressemblait un film noir espagnol au temps de Franco ? A son équivalent américain, avec un petit moins de moyens er de talent. La réponse est dans ces Poissons rouges, d'assez bonne facture, qui a chiadé son atmosphère délétère et ses rebondissements à travers une série de mensonges audacieux, le tout étant conté en flashbacks. Le réalisateur José Antonio Nieces Conde a sévi pendant 30 ans abordant tous les genres, y compris l'horreur.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 12 juil. 2020

Critique lue 47 fois

2 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 47 fois

2

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

71 j'aime

13