Un psychiatre révèle deux récits sur le travestissement : l’un s’habille avec les vêtements de sa femme et l’autre souhaite devenir une dame chirurgicalement.
Je ne vais pas palabrer vainement sur le thème, car ce serait avec ultracrépidarianisme tant ce vice ne m’a jamais atteint. Le film délivre la harangue du cinéaste déterminé à se dédouaner de sa dépravation. Lorsque Bela Lugosi se met à laïusser nébuleusement à propos d’escargots baveux ou encore de queues de petits chiens et Ed Wood à nous montrer de vieilles archives de la Seconde Guerre mondiale : on bascule dans un n’importe quoi délirant. L’unique œuvre que je connaisse qui encense le travestisme. Néanmoins, si pléthore de scènes sont assez cocasses, certaines sont ennuyeuses.