Love Actually, c'est un putain de chef-d'oeuvre purement british. Qu'est-ce que c'est bon, bordel!
Je hais Hugh Grant de toute mon âme. Et pourtant, quoi de plus mythique que cette choré pathétique sur Jump for my love? Moi, je kiffe.
L'atout majeur de Love Actually, au contraire des essais US Valentine's day et New Year's eve, c'est son casting. Y a rien à redire de ce casting de rêve, sérieusement.
En tête? Un Colin Firth qui ne peut évidemment pas vivre à côté d'un lac sans s'y jeter (eh oui, Pride n'est jamais loin), un Liam Neeson qui pleure et qui fantasme sur Claudia Schiffer (comme je le comprends), un Alan Rickman qui se fait méchamment draguer par sa secrétaire, un Andrew Lincoln amoureux de l'épouse de son meilleur ami, une Emma Thompson coincée dans un mariage qui bat de l'aile, une Laura Liney raide dingue d'un collègue trop beau pour être honnête, ou encore un Bill Nighy (bête de scène) en vedette du rock sur le déclin qui ne sait plus quoi faire pour vendre des disques.
La bonne surprise, c'est Thomas Sangster. Of course, ceux et celles qui auront vu Nanny McPhee le connaissent déjà, mais moi, ma référence, c'était la Dernière Légion, voyez, moins classe. Mais le ptit bout, là, il est super génial. Une belle carrière l'attend, moi j'dis!
Et puis, jouer le beau-fils de Dieu, y a pire, nan? :)
L'un dans l'autre, à voir absolument avant de décéder. Un milliard de fois devrait suffire. Hint: même les hommes de ma famille y sont accro, c'est dire!