Agoraphobie aigüe
La vie quotidienne de Seconda, 32 ans, souffrant d’agoraphobie prend un tour nouveau lorsque sa mère meurt et que son père l’abandonne. Pas d'Elvis Presley dans Love me tender mais une héroïne pour...
le 2 déc. 2020
La vie quotidienne de Seconda, 32 ans, souffrant d’agoraphobie prend un tour nouveau lorsque sa mère meurt et que son père l’abandonne. Pas d'Elvis Presley dans Love me tender mais une héroïne pour le moins perturbée puisque n'ayant pas quitté son appartement depuis 9 mois. On se souvient de plusieurs films suisses (alémaniques) plutôt singuliers et celui-ci ne déroge pas à la règle même si l'on y parle italien. Le traitement de la phobie de la jeune femme est largement empreint d'humour, absurde et qui aurait tendance à sidérer autant qu'à faire sourire. L'actrice principale, Barbara Giordano, est de tous les plans et elle est exceptionnelle. Cependant, faute d'une mise en scène inventive, Love me tender ne peut être qualifiée de réussite complète.
Créée
le 2 déc. 2020
Critique lue 132 fois
D'autres avis sur Love Me Tender
La vie quotidienne de Seconda, 32 ans, souffrant d’agoraphobie prend un tour nouveau lorsque sa mère meurt et que son père l’abandonne. Pas d'Elvis Presley dans Love me tender mais une héroïne pour...
le 2 déc. 2020
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13