Tous les secrets d'un véritable et incommensurable navet se retrouvent ici même dans la purge qu'est « Love Object » . Pour commencer des personnages insipides, une histoire de plus en plus d'actualité mais très mal amenée, et des intentions plus que douteuses. Ce film est un affront au septième art.

Charles_Dervaux
1
Écrit par

Créée

il y a 9 heures

Charles Dervaux

Écrit par

D'autres avis sur Love Object

Love Object
stebbins
9

Stressed to Kill

Un véritable choc filmique, étonnant et malaisant tout à la fois. Unique réalisation de Robert Parigi à ce jour Love Object est un thriller anxiogène à l'horreur allant crescendo au gré de séquences...

le 13 avr. 2021

2 j'aime

14

Love Object
Sintaquendetoa
8

Critique de Love Object par Sintaquendetoa

Attention, petite bombe en approche! Oui Love Object fait partie de ces films indépendants dont on a rarement la chance de les voir au cinéma ( distribué dans une trentaine de salles ) car chacun...

le 4 févr. 2012

2 j'aime

Love Object
Knikov
5

Critique de Love Object par Knikov

Je suis incapable de noter ce film. C'est incroyable. L'ambiance qu'il dégage est tordue. D'un coté, j'ai envi de dire "plus jamais ca". Et d'un autre, je suis faciné, et j'ai envi de le revoir,...

le 5 oct. 2010

2 j'aime

1

Du même critique

Kon-Tiki
Charles_Dervaux
8

Critique de Kon-Tiki par Charles Dervaux

Il est assez difficile de donner un ton critique au cinéma norvégien car, peut importe le contexte, cet univers à lui-même ne sait faire que régaler et émerveiller. Très proche visuellement des...

le 10 oct. 2014

4 j'aime

3

King of Beggars
Charles_Dervaux
6

Critique de King of Beggars par Charles Dervaux

Après avoir enflammé au sens littéral du terme la toile au début des années 90, Stephen Chow revient gagner l’amour de sa bien aimée sous la réalisation d’un cinéaste qu’il connaît bien, et avec qui...

le 19 mai 2015

3 j'aime

Arizona Junior
Charles_Dervaux
4

Critique de Arizona Junior par Charles Dervaux

Les frères Coen ont toujours été considérés comme les rois de l’absurde que rien ni personne ne pouvait arrêter. Ils l’ont prouvé à de multiples reprises à travers Burn After Reading comme A Serious...

le 17 mars 2015

3 j'aime