Voici mes notes durant le film:
Ce que j’ai retenu, c’est qu’à 37 minutes et 38 secondes et il y avait la musique. T’en envoie pas d’Elsa
C’est très triste que des lycéennes de leur âge doivent faire ceci pour pouvoir avoir de l’argent. Le film représente bien la crise sociale et économique du Japon des années 90.
Il y a cette scène ou des fils à l’antenne les appels des hommes, voulant bénéficier de rendez-vous subventionné, et je trouve ça dégueulasse et d’un pathétique. Cela démontre bien que la société japonaise de cette époque post explosion de la bulle spéculative était dégueulasse sans morale.
Anno il est très fort car il finit ce discours sur un plan sur des jeux d’enfants, montrant qu’elles ne sont que des gosses.
Le grand plus de ce film c’est l’usage quasiment systématique de scènes « anempathique », prenons l’exemple de Hiromi qui répond au téléphone au gars du kombini, l’appelle présage d’une future violence or elle se trouve dans un lieu classe avec une musique classique. Ou encore dans le video club .. là où elle se refuge c’est un parc pour gosse car elle n’est qu’une gosse ptn de société déficiente
Anno remet en cause l’ordre du patriarche. On voit très bien avec le personnage du père qui passe la plupart de son temps à jouer avec un train miniature au lieu de s’occuper de ses filles.
Asano est toujours aussi stylax ptn même en craignos
« si un dieu apparaissait de nulle part, et disait qu’il exaucerai un vœu, que demanderiez-vous? »
Ptn Asano fait flipper
« Où vas-tu ? Il n’y a nulle part où aller. Que ferez-vous ? Je n’ai aucune volonté pour quoi que ce soit. »
J’ai chialé comme une merde