Il l’aurait bien mérité car bien des choses dans sa vie ne jouaient pas en sa faveur — Des imprévus clairement pas favorables pour ceux déjà dans la mouise… — Des circonstances atténuantes pour tous …
Singularité de la mise en scène sud-coréenne bien présente qui dès l’intro s’apprécie.
Des personnes en fuite, d’autres qui ont des dettes, d’autres prisonnières de leur vie, des liens entre les personnages pas évidents à première vue, Lucky Strike est un savoureux mille-feuilles exigeant patience et attention.
« Alors j’ai tué qui ? » La bonne question que l’on se pose nous aussi durant un long moment.
Mertitude des choses mon Amour ! Parfois décalé et burlesque, fait de plein d’inepties tantôt drôles ou désolantes, Lucky Strike prend son temps à venir, mais quand on y est et que les connexions s’effectuent dans notre tête, c’est clair, c’est plaisir, cela malgré un grand manque de rythme et d’intensité dans ce film sac de nœuds à dénouer, avec le désespoir en toile de fond. Tout son attrait réside dans l’évolution de ses personnages qui s’y mettent tout seul et bien comme il faut dans leur merde.
Lucky Strike. Un film bien métaphorique qui fait comprendre des termes tels que : « La boucle est bouclée » et « Bien mal acquis ne profite jamais. »
Numéro 47 ; Une semaine donc 7 jours ; 1 lieutenant de Police avec son style bien à lui ; 2 femmes dont une…voilà quoi et 2 fans de couteaux de cuisine ; …. Si vous voulez tenter un loto, faites-vous plaisir ! Bonne séance !
« Les mecs violents ne changent jamais de comportement »
« Ce qui me protège, ce sont mes cigarettes » (- Devinez la marque !)
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(https://cineprochereviews.com/cpr-chroniques-films-2020/2020_041_lucky-strike/)