Comédie superficielle
Ce film est vendu donne un chef-d'œuvre contre la bureaucratie, mais la comédie reste superficielle. Il ne s'agit pas de la bureaucratie au sens politique, mais administratif du terme. On peut dire...
Par
le 5 févr. 2023
Un pamphlet burlesque et hystérique, utilisant toutes les trouvailles techniques qui lui tombent sous la main, pour passer la bureaucratie au vitriol. Dans le style excentrique des années 20 soviétiques, assez proche du ton des premiers films de Barnet, avec une utilisation du stop motion pleine d'à propos. Un rythme souvent très soutenu auquel il manque juste de ci de là un récit plus structuré, mais qui d'un autre côté permet des échappées curieuses et inattendues, tirer le fil d'une idée, d'une farce et la tirer jusqu'au bout.
Acteurs géorgiens pour la plupart, tourné vraisemblablement à Tbilissi.
Créée
le 16 oct. 2017
Critique lue 239 fois
D'autres avis sur Ma grand-mère
Ce film est vendu donne un chef-d'œuvre contre la bureaucratie, mais la comédie reste superficielle. Il ne s'agit pas de la bureaucratie au sens politique, mais administratif du terme. On peut dire...
Par
le 5 févr. 2023
Un pamphlet burlesque et hystérique, utilisant toutes les trouvailles techniques qui lui tombent sous la main, pour passer la bureaucratie au vitriol. Dans le style excentrique des années 20...
Par
le 16 oct. 2017
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1