Prenez l’excellent « Voyage avec ma tante » de Graham Greene et « Le monde est à toi » dans lequel Adjani devient dealeuse, secouez et vous obtiendrez à peu-près ce mauvais scénario.
On se demande comment on peut rassembler un budget conséquent, une équipe technique et Fanny Ardant autour d’une niaiserie pareille.
La question ne se pose pas pour l’insipide Vianney et l’insupportable Arielle Dombasle qui joue de films en films sur son même personnage de bimbo sur le retour.
Poncifs, situation éculées, retournements prévus font durer éternellement les 95 minutes du film.