Dans une optique flahertienne, Fejos revient aussi au couple et aux chants qu'il lui inspire, à une transfiguration du quotidien, contrairement à Lonesome qui chantait le miracle de la rencontre. Le regard est toujours aussi léger et souple, d'une empathie essentielle pour ses semblables et pour le cinéma. C'est simple comme Bonjour et bonjour est un des plus beaux mots qui soient.


Difficile cependant de déterminer la part de Fejos ici dans la coréalisation.


On pense également au Chang de Schödsack/Cooper

JM2LA
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le 2 mars 2016

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