Annoncé en grandes pompes par une bande annonce alléchante, Man Of Steel ne remplit malheureusement pas son contrat qui promettait une symphonie de pets type "acier".
Dès les cinq premières minutes où une dizaine d'intrigues se téléscopent joyeusement dans un fouillis incompréhensible aux répliques dignes d'une élection Miss France, on comprend que quelque chose ne va pas. Et puis quand Russell Crowe saute sur son moustique géant, là, on abandonne définitivement tous nos espoirs et l'on commence à compter les minutes nous séparant de la fin du film, en espérant ne pas nous faire recouvrir par les effets secondaires d'un pet type colique.
Si le pire est évité, la copie est à revoir.