Premier western réalisé par Rudolph Maté, directeur photo des grands d'Hollywood.
Alors le hors-la-loi (Alan Ladd pour ses premiers Westerns) accepte un plan pour lequel il doit être tatoué et usurper l'identité d'un enfant disparu. L'anti-héros ne tarde pas à éprouver de la culpabilité et recherche rapidement sa rédemption, qu'il veut obtenir de gré ou de force. Ensuite l'histoire se fait plus noire, et l'aventurier plus lucide et cynique sur sa nature sombre et destructrice. Enfin, une intervention, un guide, redonne espoir au désormais héros…
Au milieu de tout ça on parle de la famille, du retour du fils, des être proches par le sang ou par le cœur.
On oublie jamais le père qui nous a élevé et aimé, même s'il nous à poursuivi le revolver à la main, nous a fait poursuivre par sa horde de gringos, et nous a tiré dessus.
Donc même si l'on s'est menti, kidnappé, tiré dessus, volé, tapé sur la tronche, etc. he bien on s'aime quand même. Et ça c'est cool.
Les petites anecdotes rigolotes qui vont bien : dans le Wild West il y a l'eau courante… et un petit instant mannequin pas dégueu.
Pas ennuyeux, je note bien.