Dance with the Sawyer Part IV
Et patatras. Alors que Leatherface remontait un peu le niveau du deuxième opus, torché par un Tobe Hooper prétentieux et mal écrit par Kim Henkel, ce dernier retombe dans ses travers et décide de nous ré-offrir une très mauvaise suite, très mauvaise prétendue comédie horrifique qui n'a d'horrible que le jeu d'acteurs et la prétention de son réalisateur, sur de nous sortir une comédie hilarante à en tomber qui nous fait tomber certes, mais d'ennui.
Le 3, Leatherface, avait un gros problème d'éclairage (oui, je meuble mais bon, je hais les critiques de 2 lignes), se déroulant de nuit, on était très vite perdu... Dans celui là, Levie Isaacks a fait du bon boulot (ça doit bien être le seul dans cette équipe de bras cassés), l'éclairage de la nuit, sans pour autant être ahurissant, nous permettant de suivre l'histoire. Mais je suis désolé, entendre Leatherface crier de façon stridente toutes les trente secondes, en plus en drag-queen (idée complètement débile car absolument pas légitime et expliquée), moi, ça m'a très vite ennuyé.
On ne s'amuse même plus à en voir la nullité. Digne film pour clore cette saga hystérique.