Première critique sur un film de gangster pour ma part, et premier (véritable) film de gangster réaliser par un "grand" cinéaste est nom des moindres, aujourd'hui, on s'attaque à un gros pavé j'ai nommé... Mean Streets.


Alors... Mean Streets est le 3ème long-métrage de Martin Scorsese sortie en 1973, qui a connu un véritable succès auprès du Nouvelle Hollywood et qui a posé les bases de la filmographie de notre cher Martin Scorsese, c'est à dire les films de gangsters avec ses fameux codes Scorsesiens.


Mais alors pourquoi j'ai détester un film de Martin Scorsese à ce point ? Alors déjà pour commencer je ne suis pas énormément fan de la filmo de Scorsese mises à part : Raging Bull et Taxi Driver que j'ai vraiment apprécier, parce que déjà ce ne sont pas des films trop personnelles du réal sur ce qu'il a vécu dans le quartier du Little Italy ce qui est le cas de Mean Streets, ce qui lui fait sortir de ses gonds habituelles en fesant ce genre de film et ça.
Ça prouve que c'est un grand réalisateur qui peut exploiter n'importe quel genre avec toujours autant de créativité.
Et ça, sa fait plaisir à voir.
Et surtout pour le deuxième point "les codes Scorsesiens".


Avec le côtés dynamiques du montage de Thelma Schoonmaker (même si ce n'est pas Thelma Schoonmaker mais disons que c'est une inspiration), déjantés, à coupés le souffle, des traveling sur le visage (sur n'importe quoi, où n'importe quel action) et vu (histoire à part) que Scorsese devait être prêtre avant d'être réalisateur
(longue histoire).
Dans ces films ils parlent aussi de thèmes religieux qui lui sont chers car très porté sur ça croyance religieuse qui racontent la vie et aussi la descente aux enfers mouvementé de ces p'tit caïds tout en ayant un côté biblique à tous celà.


Et bas tout ça vous savez quoi !
Je n'adhère pas des masses
(À part les deux codes de la religion et des liens familiaux qui me gène pas du trop, même si je suis parfois confu).
OK je dois reconnaître que Thelma Schoonmaker (ce n'est pas Thelma Schoonmaker qui a monter le film je le répète -_-)
(même si le film n'a pas était monter par elle, et c'est peut-être ça le plus gros problème, même si Scorsese commandite avec les monteurs) est une excellente monteuse avec son propre style, mais moi personnellement je me perd dans ce genre de montage (sur certaines scènes).
C'est avantageux sur certaines scènes et sans quand c'est bien utiliser ça rend des scènes moins molles mais dans d'autres c'est complètement inutiles, et on décroche de l'histoire très facilement.


Mais je dois reconnaître que dans Mean Street le montage est parfois bien utiliser (mais pas plus que dans Raging Bull).


Mais même avec le point positif du montage (que je n'adhère pas de base) qui est censé rendre moins fade et moins moût le film.
Bas... je me suis quand même fait chier et c'est surtout ce point là qui m'a bien fait chier de voir un film de Scorsese aussi moût, fade et t'en qu'on y ait vide.
Pourtant Scorsese dès ses débuts avait déjà mis en place se code avec sa monteuse.


(Par contre riens à dires pour DeNiro et Harvey Keitel qui sont toujours aussi fidèles dans leurs mises en scène.
Comme pour les autres acteurs.
Même si les dialogues sont parfois redondant.
Et puis pour un film qui a quand même un budget ridicule de
150 000 $, et bas il c'était quand même bien investie le Scorsese.)


Donc, film de Scorsese avec un rythme effréné pourtant il avait déjà les bases, mais malheureusement les bases non pas fait mouches et en deviennent carrément inutiles et pas impressionnant avec un scénario où il ne se passe pratiquement rien pendant presque 1h30, c'est bien filmer certes les plans sont beaux
(même si la pellicule commence un peut à daté aujourd'hui), mais qu'est ce que je me suis fait chier, la personnalité des personnages étaient littéralement endormit pendant plus de la moitié du film, et pendant tout ce temps les personnages ne fesait que s'amuser et faire des vieux règlements de comptes tout bidons et j'veux dire, ouais cool il peuvent s'amusent et faire des petits règlements de comptes de merde dans un bar de poivrots, mais pas pendant 1h30 PUTAIN et puis il faut que ça soit captivant, et comme je vous les dis les dialogues ne volent pas haut.
Du coup ce film a un scénario méga creux où ont s'ennuient à mourrir, et puis tout ça pour révéler une fin de film qui ne veut absolument rien dire.
OK Peut être Scorsese a fait le film qui a lancé ça carrière mais qui le condamne aujourd'hui par la même occasion.
Avec des mécaniques extrêmement vieillissante qui ne sont plus en avance sur notre temps et qu'il était déjà pas avant (si on compare ça au Parrain de Coppola par exemple, ok le budget n'est pas le même, mais c'est pas une raison pour faire un film vide) et qui est pour moi un film qu'on ne pourra jamais revoir 2 fois t'en le scénario et médiocre pour un film qui en plus de ça est extrêmement long pour que dalle. Et je ne comprendrai jamais autant son surcotage.
Alors que pour moi je ne vois pas où il a posés les bases, dans le milieu d'Hollywood.


Bon résumons un peu là chose : c'est moût, c'est creux, c'est vide, les codes éstétiques de Scorsese ne sont pas au rendez-vous (tout comme la mise en scène de certains acteurs) mais ces métaphore et sa fois religieuse est présente, et BIEN SÛR son appréciation excessivement abusé, tout ça parce que c'est "le" Martin Scorsese et que un film venant de lui ne peut que être bon, eh bien NON.
Par contre si vous voulez vous intéresser à la filmographie de Scorsese mais qui n'est pas personnelle pour le réal passer votre chemin et foncez droit sur Raging Bull qui a au moins le mérite d'avoir un scénario, un montage vraiment utiles et qui pète la classe et des monologues captivants, qui a en plus de ça pas vieillie d'un poil (enfin sur certains aspects) !!!

L-U-D-O-W
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le 22 juin 2020

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