Comment les vieux auteurs ressentent la fin de leur vie, comme de leur carrière ?
On a pu voir une série de films en 2024 d'auteurs/réalisateurs voulant faire des films sans concession de création et avec leurs limites de temps.
Spielberg, Sam Raimi, Scorcess ou Ridley Scott ont un certain âge et se permette tout, sans tout se permettre non plus dans leurs derniers films.
Megapolis est comme l'apogée de l'histoire gréco-romaine mythologique que méditait Ford Coppola depuis longtemps, je pense même depuis ses premiers pas dans le cinéma. À son plus jeune âge, avec tout ses livres de tragédie mythologique.
Le transcender à notre monde moderne est une idée simple, mais qui est de grande augure. Car comme le montre les décors et les effets spéciaux de villes entière reconstitué. À donné un travail monstre au nouvelle pratique d'effet spéciaux. Alors qu'il vient d'un Apocalypse Now sans artifice spécial numérique. Vu que ça n'existait pas encore aussi permanent qu'aujourd'hui.
Mais de la sensation du désagréable au monde utopique. Ce film ne m'a pas transcender comme ses idées de critiques de notre monde actuel.
Certes il retranscrit la lutte des classes et des deux côté de la ville. Une chaotique livrée à elle même, et l'autre en or et de festival de jet set et d'aristocrate multi-millionnaire.
On se trouve plutôt de ce côté là, comme si on ne pouvait pas avoir un héro ou une héroïne pauvre aussi. La tragédie gréco-romaine n'est pas que lié à des riches dieux. Ont voulait voir comment le peuple modeste vie aussi au New Rome. C'est à dire : nous.
Mais à part d'un attentat d'un enfant de 12 ans métissé il n'y a pas beaucoup d'approche au peuple.
Comme d'habitude la mégalomanie de riche réalisateur ne montre plus comme à ses début la principale identification possible. Le peuple.
Comme nos dirigeants ils l'oublient volontairement ou inconsciemment je pense.
En tout cas je pensais qu'il me plairait au tout début, puis de l'ennui s'installe dans le siège de cinéma. Avec toutes ses références que ont ne nous ne donne pas et qu'il faut qu'on étudie après. Si on ne l'a pas fait avant le film.
Les héros riche et déesses, qui vont nous laminé avec le mariage et la procréation pour un futur viable en paix. Qui en réalité continuera a toujours aller vers de la guerre et des inégalités.
Il faut juste essayer de s' en sortir et d'essayer d'être heureux. L'utopie est aux mains d'un bébé ou de Larry Fink ? Je crois savoir en tout cas à qui j'ai le plus envi de parler après ce film.