Autoportrait auto-produit, auto-écrit et auto-réalisé
Ayant fréquenté les mondanités et leurs violences, Coppola dénonce l'idiocratie consanguine de privilégiés conservateurs.
Simpliste et sans subtilités, il oppose un système logiquement en déclin à une utopie magique. On aurait pu croire à critique aigrie de ces oppositions stériles; mais le ton et la conclusion trahissent sa préférence pour la magie (omettant les tragédies de magies autoritaires).
On ne peut s'empêcher de voir les Coppolas retranscrits dans chacun des personnages. Pour justifier ces intentions et aussi mêler ses vices à la fiction : confessionnal couvert par du cinéma.
[!] Pas de scènes post-génériques [!]