Fable riche en mégalo-éléments tels que : délires numériques (assez vains à mon goût), remix de tubes littéraires ou historiques (plutôt amusants), coups de chapeau à divers maîtres du 7e art (les noces orgiaques de Crassus évoquent joliment Fellini) et à la sublime DS 21 Pallas… Ces multiples et appuyés clins d’œil ont flatté l’Européen que je suis, mais je n'ai pas réussi à m'intéresser à l’histoire, trop décousue, non plus qu'aux personnages, grandiloquents comme des transformistes amateurs (d’accord c’est voulu mais pfff). Quant aux tartines philosophico-pompeuses, bon ben burp. Quel dommage que le héros, au lieu d’arrêter le temps à tout bout de champ, n’ait pas eu la bonne idée de l’accélérer un bon coup !