Pâté en croupe
Abdellatif Kechiche, depuis La vie d’Adèle, semble désormais devenu plus clivant que jamais (La vénus noire présageait déjà de la chose) et susciter la controverse au moindre de ses mouvements. Les...
Par
le 22 mars 2018
156 j'aime
22
Ce gros vicieux sait filmer les corps, les regards, les tensions, la séduction. Beau portrait, le fumier sait te faire rentrer dans une scène.
Par contre, on se rend compte que cet homme n’a jamais parlé avec une personne sans vouloir la posséder donc les dialogues sont vides, d’autant plus que le jeu des comédiens est pitoyable, de quoi te faire sortir d’ambiances pourtant bien filmées.
Créée
le 14 nov. 2021
Critique lue 27 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Mektoub, My Love : Canto uno
Abdellatif Kechiche, depuis La vie d’Adèle, semble désormais devenu plus clivant que jamais (La vénus noire présageait déjà de la chose) et susciter la controverse au moindre de ses mouvements. Les...
Par
le 22 mars 2018
156 j'aime
22
Une longue vie de spectateur suffit en général à s'apercevoir que souvent, plus le traitement d'une histoire s'éloigne d'une apparence de réalité, plus on touche au vrai. Prétendre que le contraire...
Par
le 21 août 2018
109 j'aime
55
Alors que La Vie D’Adèle et son couple mémorable nous trottait encore dans la tête, Abdellatif Kechiche revient avec Mektoub my love (canto uno) et son style inimitable, qui cette fois ci,...
Par
le 26 mars 2018
97 j'aime
15
Du même critique
Beaux thèmes abordés de la relation humaine : le narcissisme, la domination d’égos, le confort de la souffrance, le capital symbolique, se rassurer de sa place dans l’Autre, etc. Néanmoins, Sam...
le 31 déc. 2021
1 j'aime
Ce gros vicieux sait filmer les corps, les regards, les tensions, la séduction. Beau portrait, le fumier sait te faire rentrer dans une scène. Par contre, on se rend compte que cet homme n’a jamais...
le 14 nov. 2021
1 j'aime
Il faut prendre à César ce qui appartient à César
le 15 juil. 2024