Si vous pouvez éviter une clé anglaise, vous éviterez le ballon.
Nouvelle variation du thème de David contre Goliath, Dodgeball donne le ton dès les premières secondes grâce à Ben Stiller.
Le film démarre donc sur une publicité qui sert à introduire le personnage de White Goodman, que l'on va adorer détester.
Ce dernier est complètement hystérique et surtout est constamment mal habillé, macho, vulgaire et inmbu de sa personne.
Face aux bodybuildés sans cervelles se tient une belle bande de loosers, des habitués de la salle de Gym familiale mais fauchée tenue par Peter Lafleur, force tranquille qui se retrouve le couteau sous la gorge suite à des impayés..
Et quoi de mieux que de participer à un tournoi de ballon prisonnier pour essayer rembourser ses dettes ? Et bien pas grand chose car de l'initiation jusqu'au tournoi, Dodgeball nous gratifie de scènes bien délirantes et de situations poilantes le tout agrémenté d'apparitions savoureuses de guests.
Très con, mais très bon, j'adore !