Que de générosité encore dans le propos, avec des éléments récurrents toujours traités avec beaucoup d’humanisme! La complémentarité compassion/violence dans les situations d’indignité, la nécessaire prise de conscience collective des problèmes structurels de domination, un regard un peu candide sur ses congénères, tout cela est aujourd’hui enveloppé dans une ambiance dystopique loufoque à la Brazil. Et encore une fois un beau casting, je découvre Pattinson en me sortant des vieux clichés de lui que j’avais en tête depuis cette série de films de vampires langoureux et pénibles. Et un discours globalement optimiste sur la capacité humaine à faire le bien, malgré tout.
Touchant comme un rien.