L'originalité "arty" appliquée au film d'horreur pourrait peut-être passer, si ce n'était une forme de complaisance voire de fascination un peu crasse pour ce délire sectaire qui n'en finit pas. De la nullité des personnages aux situations sans queue ni tête, rien n'est intéressant ici. Même en le regardant seulement depuis le détournement des codes du genre. Il se révèle aussi lourd que les autres !

hubertguillaud
1
Écrit par

Créée

le 24 févr. 2024

Critique lue 16 fois

hubertguillaud

Écrit par

Critique lue 16 fois

D'autres avis sur Midsommar : The Director's Cut

Midsommar : The Director's Cut
FabienBe
10

Je voudrai exprimer mon transport

Pour le transport vaut mieux la brouette. Mais un bon film, ça fonctionne aussi… Que ça fait du bien de voir des réalisateurs talentueux monter en puissance, il est parfois des réalisateurs qui...

le 22 janv. 2020

13 j'aime

2

Midsommar : The Director's Cut
freddyK
9

Le Plus Doux Des Cauchemar

Tout juste un an après la claque et le choc du terrifiant Hérédité, le réalisateur Ari Aster revient avec un second long métrage tout aussi réussi. C'est donc avec bonheur que l'on tend l'autre joue...

le 1 janv. 2020

7 j'aime

Midsommar : The Director's Cut
Monsieur_Cintre
8

La campagne sacrée

Version longue du film d'Ari Aster, je ne trouve pas que la director's cut de Midsommar ajoute beaucoup d'éléments à l'intrigue originale. Je n'ai à vrai dire pas cerné de différences scénaristiques,...

le 17 déc. 2021

6 j'aime

Du même critique

Samuel
hubertguillaud
10

Emballant !

D'une simplicité incroyable, d'un trait épuré, Emilie Tronche nous embarque dans la prime adolescence avec une série absolument excellente, faite de petits instants, de regards, de réflexions sur...

le 12 mars 2024

54 j'aime

Homo deus
hubertguillaud
2

La technologie, une religion qui s'auto-réalise

Sapiens, le précédent livre de Yuval Harari, cette grande fresque de l’humanité a permis à des millions de lecteurs de se sentir intelligents, de comprendre notre aventure humaine sur plus de 300 000...

le 29 août 2017

33 j'aime

14

The Irishman
hubertguillaud
2

Du cinéma naphtaline !

Scorsese reste un grand conteur. Malgré les longueurs, les digressions, la fadeur de l'ensemble, il nous embarque à grand coup de nostalgie dans cet univers de mafia disparue, qu'il a tant raconté...

le 1 déc. 2019

24 j'aime

2