La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
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Un footballeur ivoirien en fuite se retrouve dans une ferme isolée où une bande de voyous fait régner sa loi. L'excellent et sculptural Isaach De Bankolé, coproducteur du film, en joue le rôle principal. Ce western minimaliste, taiseux et énigmatique ressemble vaguement à un mixage de Leone, Bela Tarr et Malick. Lent et opaque, le scénario laisse sa place à une atmosphère oppressante et violente avant la longue fusillade finale, assez impressionnante. Où en veut en venir le réalisateur Szabolcs Hajdu dont on a vu par le passé le très bon Paumes blanches ? Comme White God, ne s'agit-il pas simplement (façon de parler) d'une allégorie sur le retour du fascisme en Hongrie ? D'autres interprétations sont possibles mais ce que l'on retient avant tout c'est la qualité de l'image du film, les plaines magyares remplaçant avantageusement les paysages de l'Arizona. Le western goulasch est arrivé ...
Créée
le 29 mai 2018
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